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Other Images in this Gallery
- Cérémonie commémorative des vichystes, dans les années 1940.
- HABOUS : 1942 AU PALAIS ROYAL DE CASABLANCA S.M. LE SULTAN SIDI MOHAMMED BEN YOUSSEF DECORE LE GENERAL PATTON EN PRESENCE DU PRINCE MOULAY HASSAN ET DU RESIDENT GENERAL NOGUES.
- Les premiers auditeurs dans la proche banlieue Casablancaise à AIN CHOUK (Ain Chock)
- Vue aérienne de l’hôtel d’Anfa où s’est tenu la conférence.
- 1943 : S.M. Mohammed V, invité officiel de M. Roosevelt, président des Etats Unis d’Amérique, lors de la tenue de la Conférence d’Anfa.
- Stèle …
- Le martyr Ahmed Ben Mohammed Rachidi. Condamné à mort par le tribunal militaire qui siégeait dans l’ex caserne des Zouaves. Au moment de son exécution, il refusa de se faire bander les yeux, pour regarder leur dit-il pour la dernière fois, le ciel de SON PAYS ! La place mitoyenne du Bd Rachidi et malheureusement connue sous le nom de Nevada !
- FRANCAIS LIBERAUX
- PASSEURS D’ESPERANCE
- LE FONCIER ! Le Crédit Foncier d’Algérie et de Tunisie (lors de sa création, le Maroc n’était pas encore sous … protectorat) Une des principales banques, chargées du financement des colons. Au Maroc, les ouvertures de guichets de cette banque étaient concentrées dans les régions colonisées du Gharb, Meknès, Fès etc.
- S.M. MOHAMMED VI ROI DU MAROC
- LA PERLE NOIRE HAJ LARBI BEN M’BAREK.
- FORT DE DOUAUMONT
- Publicité accompagnée de photos du lotissement construit à proximité de l’usine, pour des raisons de … commodités
- LE DOCTEUR VEYRE A DAR BOUAZZA EN 1908.
- LA PREMIERE MOSQUEE DE LA VILLE DE DAR EL BAIDA SOUS LE REGNE DU SULTAN SIDI MOHAMMED BEN ABDELLAH CONNUE SOUS LE NOM DE JAMAA DAR EL MAKHZEN JAMAA AL ATIQ JAMAA LEKBIR
- S.M. Mohammed V.
- publicité des banques « Marocaines ».
- Armenonville à Ain Sebaa.
- LE SANCTUAIRE DE SIDI BELIOUT.
- AFFICHE DES JOURNEES DU PATRIMOINE 2014
- Le personnel de la -COSUMA- en action !
- PORTE D’ENTREE DU CIMETIERE DE BEN M’SIK.
- Porte de Seqala construite sous le règne du Sultan Sidi Mohammed Ben Abdellah, pour assurer la défense de la cote, contre les intrusions étrangères.
- Le Maréchal Lyautey et le Maréchal Pétain sur les quais de Casablanca, quelques temps avant la démission du Maréchal Lyautey de ses fonctions de Résident Général et Commandant en Chef des Forces armées.
- Place Lyautey : Devant la statue du Maréchal Lyautey, le Résident Général Juin accompagné de Monsieur Boniface, du Chef de la Région Civile de Casablanca, fait ses adieux aux habitants de la ville Européenne de Casablanca.
- LE PARTAGE DU TERRITOIRE MAROCAIN EN DIFFERENTES ZONES : NORD, SUD, IFNI, TARFAYA, TANGER ETC.
- LE DIRIGEABLE FRANCAIS FLEURUS.
- HEUREUSEMENT QUE LES RESISTANTS ETAIENT LA POUR VEILLER AUX GRAINS SINON …
- 1924 : LE MONUMENT DE LA VICTOIRE DE LA PLACE LYAUTEY A CASABLANCA.
- 1924 : LE MARECHAL LYAUTEY PRONONCE SON DISCOURS LORS DE L’INAUGURATION DU MOMNUMENT DE LA VICTOIRE DE LA PLACE LYAUTEY A CASABLANCA.
- MOHAMED ZERKTOUNI, LE SYMBOLE DE LA RESISTANCE ET DU SACRIFICE AU MAROC. IL AVAIT PREFERE METTRE FIN A SES JOURS QUE DE LIVRER LES SECRETS DE LA RESITANCE DONT IL ETAIT L’UN DES CHEFS.
- S.M. Sidi Mohammed Ben Youssef et le prince Moulay Hassan.
- Le Résident Général, le Général Guillaume, artisan convaincu de la politique coloniale, ancien officier des Goums. Avec le Maréchal Alphonse Juin et Monsieur Philipe Boniface, il ont été formé à la Résidence Générale des années 1920, sous la houlette du Maréchal Lyautey.
- Portrait du Sultan Sidi Mohammed Ben Abdellah, réalisé par un peintre espagnol.
- MONUMENT COMMEMORATIF A LA MEMOIRE DES VICTIMES DES EVENEMENTS DE BOUFEKRANE.
- LE DAHIR DE S.M. LE SULTAN MOULAY HASSAN REMIS AU MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES SI BARGACH QUI PRESIDERA LA DELEGATION MAROCAINE PRESENTE A MADRID EN 1880.
- -S.M. LE SULTAN MOULAY YOUSSEF ADRESSERA UNE LETTRE CHERIFIENNE AUX TROUPES MAROCAINES. » LA FRANCE S’EST TROUVEE DANS L’OBLIGATION DE PRENDRE LES MESURES NECESSAIRES A LA DEFENSE DE SON HONNEUR NATIONAL ET SES ALLIES SE SONT MIS A SES COTES, POUR COMBATTRE L’ENNEMI SUR TERRE ET SUR MER. C’EST CE QUI A MOTIVE VOTRE ENVOI EN FRANCE. NOUS SOMMES PERSUADE QUE VOUS SAUREZ MONTRER, AU MILIEU DES AUTRES TROUPES, VOS QUALITES DE COURAGE, DE BRAVOURE ET DE HARDIESSE A L’HEURE DU COMBAT … »
- SUR LE SOCLE DE LA STATUE DU MARECHAL LYAUTEY CETTE CITATION ET SA TRADUCTION …
- EN 1916 DE JEUNES ECOLIERS MAROCAINS ONT ETE INVITES A S’EXPRIMER SUR LE CONFLIT EN EUROPE A TRAVERS LE DRAPEAU TRICOLORE. LE TEXTE ORIGINAL DES JEUNES ECOLIERS A ETE ECRIT EN ARABE ET TRADUIT PAR LES SERVICES CONCERNES !
- LE GLAOUI AU MAUSOLEE DU MARECHAL LYAUTEY
- DEJA EN 1912 … LE GLAOUI ET SON FRERE RECOIVENT LA CROIX DE LA LEGION D’HONNEUR DES MAINS DU GENERAL LYAUTEY.
- LA FAMEUSE RUBRIQUE APPELLEE CASABLANCA DU NON MOINS FAMEUX JOURNAL DIT LE PETIT MAROCAIN …
- LA VILLE EUROPEENNE DE TUNIS.
- LA VILLE EUROPEENNE DE TETOUAN SOUS PROTECTORAT ESPAGNOL.
- LA VILLE EUROPEENNE DE TANGER SOUS ADMINISTRATION INTERNATIONALE.
- ALEXANDRIE.
- TRIPOLIE – LIBYE
- LES NOUVELLES FRONTIERES TRACEES PAR LE PROTECTORAT DONNERONT LIEU A LA DEMOLITION D’UNE PARTIE DE LA MURAILLE PLUS QUE MILLENAIRE, DES PORTES PRINCIPALES DE BAB LEKBIR OU BAB ESSOUK DE BAB REHA ETC.
- AU BEAU MILIEU DU 4éme ZOUAVES CETTE STATUE AU NOM DE MONSIEUR JOHN DAL PIAZ UN ILLUSTRE INCONNU DES MAROCAINS DE LA VILLE DE CASABLANCA.
- LES TIRAILLEURS, ZOUAVES ET LEGIONNAIRES.
- AU CIMETIERE DES CHOUHADA – MARTYRS DE LA NATION : PLAQUE COMMEMORATIVE DU DISCOURS DE FEU S.M. MOHAMMED V EN DATE DU 18 JUIN 1956. EN CE MOIS SACRE DU RAMADAN UNE PENSEE A L’ADRESSE DES RESISTANTS MAROCAINS QUI ONT COMBATTUS LE MACHIAVELIQUE SYSTEME DU PROTECTORAT DE 1907 A 1955.
- LE SULTAN MOULAY HAFID QUI REGNERA DE 1908 A 1912. SOUTENU PAR LES OULEMAS ET LA POPULATION MAROCAINE CONTRE L’INGERENCE ETRANGERE DANS LES AFFAIRES DU PAYS, IL LUTTERA DE TOUTES SES FORCES POUR DENONCER AUPRES DES AMBASSADEURS ACCREDITES A TANGER IL DENONCERA L’INTERVENTION MILITAIRE ET LE BOMBARDEMENT DE LA VILLE DE CASABLANCA. IL FINIRA PAR ARRACHER UN ACCORD DE RETRAIT DES TROUPES ETRANGERES CONCLU ENTRE SON AMBASSADEUR A PARIS ET LE MINISTRE FRANCAIS DES AFFAIRES ETRANGERES M. PICHON. MAIS C’ETAIT SANS COMPTER AVEC LES MULTIPLES « MANOEUVRES » QUI FINIRONT D’IMPOSER LE PROTECTORAT FRANCO-ESPAGNOL.
- LORS DE LA PREMIERE GUERRE MONDIALE 1914-1918 : LE CENTRE MAROC
- CENTRE MINIER QUI PORTE LE NOM DE MAROC.
- LE PRINCE HERITIER MOULAY HASSAN ACCOMPAGNE DE SON FRERE MOULAY ABDELLAH ASSISTENT AU STADE PHILIP A UNE RENCONTRE OPPOSANT L’EQUIPE « NATIONALISTE » DU WYDAD A UNE EQUIPE AUTRICHIENNE. A L’EXTREME GAUCHE, LE FAMEUX CHEF DE LA REGION CIVILE LE NOMME BONIFACE DE TRISTE MEMOIRE.
- Au port de Casablanca : La dépouille mortelle du Maréchal Lyautey quitte le Maroc pour la France, en présence de 10.000 Français.
- Palestine : Au début du siècle dernier, la ville sainte d’Al Qods – Jérusalem.
- Des maisons détruites par les bombes à Gaza, lors de la première guerre mondiale 1914-1918.
- Les premiers soldats du 4° Zouaves donneront leur nom à la principale artère de la ville … Européenne et à la première caserne militaire au centre de la ville Européenne. Ce sont eux, qui seront félicités par le Général d’Amade pour le « bon travail » réalisé lors du débarquement, après le bombardement de la ville en aout 1907. Sur cette image des années 1950, on les voit « parader » tous les ans, au bon souvenir du « bon travail » fait !
- Monument commémoratif du débarquement des troupes étrangères françaises et espagnoles, après le bombardement de la ville par l’armada commandée par l’amiral Philibert. Ce monument se trouvait, place Lyautey, au fond une partie du tribunal de justice de juridiction française et à droite, la subdivision militaire où le commandant de la place d’armes le Général Calmel.
- Carte militaire de la presqu’île du Sinaï.
- La ville de Casablanca en particulier sera mise à rude épreuve, à travers les changements menés tambour battant, par les services spécialisés du protectorat, pour lui imprimer les aspects d’une ville Européenne, entourée d’un chapelet de quartiers « réservés » aux gens du pays ! -L’inauguration du monument à la victoire et à la paix par le Maréchal Lyautey en date du 20 Juillet 1924, en présence de toutes les notabilités militaires, civiles et des habitants de la ville européenne, nous donne rétrospectivement l’occasion de revisiter les « réflexes » et les perspectives des responsables du protectorat par rapport aux « discours » de circonstances, que leur dicteront les événements.
- Débarquement des approvisionnements et des … munitions !
- Rue Sidi Allel El Kerouani, après le bombardement de la ville de Casablanca.
- Sous le commandement de l’Amiral Philibert, la ville de Casablanca en général et les quartiers d’habitation des marocains, seront pris en tenaille, par une extraordinaire puissance de feu, qui fera des centaines de victimes. La presse coloniale, donnera le nom de « bourgade » à la ville de Dar El Baida … Les résistants prendront le nom de « fanatiques » qu’ils faut … poursuivre !
- l’Enseigne de vaisseau Ballande, qui donnera son nom à l’une des premières artères de la ville blanche. Dans le cadre de l’affirmation de la présence des forces d’occupation, les artères de l’Ancienne Médina porteront des noms militaires : Ballande, 2ème Tirailleurs, 4ème Zouaves etc.
- Un résistant hors pair : Si Boubker Bouzid, natif de Salé, un grand commis de l’Etat, connu auprès des Bidaoua pour sa culture, son intégrité morale et son attachement aux valeurs de son pays. Cet homme exceptionnel, sera la première victime d’un système coloniale sans nom (sous couvert de protectorat et de respect des valeurs …) Envoyé en exil à l’étranger, ses biens seront mis sous séquestre, il terminera sa vie, dans les geôles du protectorat. Prisonnier, il refusa catégoriquement de rencontrer le fameux ténor du protectorat !
- La légende de cette carte postale : Enlèvement des cadavres dans les rues de Casablanca. Diffusée pour les besoins de la propagande, on serait tenter de croire qu’il n’ya plus rien à ajouter… La réalité et tout autre, il s’agit d’un des quartiers marocains de la ville, qui ont été complétement dévastés et pillés par les légionnaires. La population marocaine où ce qu’il en reste, quittera la ville pour trouver refuge dans la proche banlieue. Pour dégager les centaines de morts, les nouvelle autorités militaires, mobiliserons de force de jeunes enfants habitants du Mellah, pour enlever les cadavres …
- Sous le gouvernement Paul Painlevé, il se vit retirer le commandement des troupes engagées dans le Rif, qui fut confié à Philipe Pétain. Lyautey démissionna et rentra définitivement en France en 1925.
- Les cendres du Maréchal Lyautey reposeront aux Invalides.
- Le sultan fantoche Mohammed Ben Arafa de la Résidence Générale et de ses coéquipiers, les nommés Philipe Boniface, chef de la Région civile de Casablanca, le pacha de Marrakech Thami Glaoui et Abdelhaï Kettani.
- Les piliers de la politique coloniale au Maroc.
- Le Résident Général et Ben Arafa vont unir leurs efforts pour faire progresser le … pays (vers le chaos)
- La légende « le dernier clou dans le nid du colonialisme »
- Le sultan de la Résidence Générale entre le pacha Glaoui et le fameux de Blesson, de la Résidence Générale en tenue d’apparat.
- Le Sultan de la Résidence Générale fait sa première sortie un 11 septembre 1953.
- Après l’attaque du résistant et martyr Allal Ben Abdellah, ce dernier est attaqué par une meute de garde dont l’adjudant nommé King !
- S.M. Mohammed V reçoit, en présence du prince héritier Moulay Hassan, les représentants de la population du Sahara.
- Des prisonniers allemands au port de Casablanca, lors de la première guerre mondiale !
- Le Goum de Tindouf : Il s’agit de goumiers marocains chargés par le commandement militaire du protectorat, d’assurer la sécurité des la région.
- Le Résident Général, le général Noguès, ambassadeur de la République Française, en visite officielle à Tindouf. Au fond les Goumiers marocains.
- S.M. Mohammed V reçoit une délégation représentant les habitants du Sahara, à ses cotés S.A.R le prince Moulay Hassan.
- 1974-1975 : Pour la récupération du Sahara Marocain.
- Le Sultan Moulay Ismail, symbole de la libération et de l’unification du Maroc.
- Le Sultan Sidi Mohammed Ben Abdellah, récupère des mains des portugais la ville de Mazagan – El Jadida, il fera, durant un an, le siège de la ville de Melilla.
- Le Sultan Moulay Abderrahman Ben Hicham, nommera en 1858, le Cheikh Maa Al Aïnin, son Khalifa pour le territoire du Sahara.
- Le grand Sultan Moulay Hassan i), effectuera deux visites dans le Souss, Oued Noun et Sakiet El Hamra dans les années 1882 et 1886, pour mettre un terme aux ingérences étrangères au Sahara Marocain.
- Le Sultan Moulay Slimane, sous son règne, l’Espagne préparait l’occupation de la région de Oued Noun et Sakiet El Hamra.
- Il s’agit de l’incendie du port de Casablanca et non de celui de la douane !!!
- 1913 : Les caisses de munitions jonchant les quais du port.
- Aout 1907 : Juste après le bombardement de la ville de Casablanca. Des marins du Galilée, soutenus par des civils, assurent la défense du Consulat de France, situé place Sidi Bousmara en Ancienne Médina. au fond à gauche, des militaires en civil, communiquent aux batiments de guerre, la position des quartiers à bombarder.
- 1907 : Le croiseur bombarde les quartiers d’habitation des marocains et non la ville ! L’identification des centaines de victimes de ces bombardements, ne laisse planer aucun doute …
- La légende le Galilée … « devant Casablanca » On croyait que les passagers sont descendus pour une visite touristique bazars de la ville … Non Messieurs les spécialistes de la falsification, le Galilée était effectivement devant Casablanca, après avoir laisser sur la « parvis » des centaines de victimes !
- A gauche, le Général Drude qui dirigea au sol les premières opérations face aux résistants de Casablanca et de la Chaouia. A droite en casque … colonial, l’Amiral Philibert qui était aux commandes, d’une armada d’une dizaines de batiments de guerre, pour bombarder la ville de Casablanca du 5 au 7 août 1907, c’est lui qui pointera ses multiples canons, pour « viser » les quartiers d’habitations des marocains !
- La légende » Batterie marocaine détruite par les obus du Galilée » présenté comme un exploit militaire, alors qu’il s’agit simplement de la supériorité des troupes étrangères en matériel sophistiqué. C’est grâce aux canons de 75 et le ballon d’observation connu sous le nom de « Dar El Bayda » que les troupes étrangères ont réussi leur avancée dans le pays des Chaouia !
- Sous prétexte de soigner les blessés du bombardement, les militaires n’ont pas hésiter à violer l’une des mosquées de la ville.
- Les deux tiers des habitations et commerces des quartiers visés par le bombardement, ont été désertés de leurs habitants marocains.
- Sous prétexte de soigner les blessés du bombardement, les militaires n’ont pas hésiter à violer l’une des mosquées de la ville.
- l’Enseigne de Vaisseau Ballande.
- l’Arrivée des pèlerins de la Mecque.
- La voie ferrée qui passait devant le sanctuaire de Sidi Beliout
- Le dépôt de la Compagnie Marocaine en … 1906.
- Le port de Casablanca en 1915, principal fournisseur de céréales de la Métropole.
- l’Aménagement et l’équipement du port de Casablanca, en matériel de manutention, avait pour objectif, de réaliser les opérations d’exportation de matières premières et de faciliter les opérations de débarquement des produits « importés ».
- Le quai Delande, pour l’accueil des paquebots des touristes. Les moyens de transport (fiacres et taxis) répondaient aux besoins des touristes étrangers, en particulier américains.
- Vue de la terrasse de l’hôtel Central, au premier plan la porte de la marine (Bab el Bahr) au fond la trace du bombardement américains des navires de guerre français et la riposte du Jean Bart en novembre 1942.
- Août 1907 : Débarquement des marins français.
- Les richesses halieutiques du Maroc, transformée par une main-d’œuvre féminine qualifiée… (A défaut d’écoles) faisaient le bonheur des exportateurs … vers la Métropole, et, vers l’Indochine en guerre !
- Carte postale historique.
- Les éditoriaux de Feu Si Abderrahim Bouabid.
- En compagnie de Feu Mohammed V,
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- S.M. Mohammed V
- Vue aérienne du port de Casablanca en 1924. Les travaux vont bon train.
- Les années 1930 sonneront le glas des barcasses et des barcassiers.
- Des travaux d’aménagement du port de Casablanca, dépendait les économies de la Métropole et de l’Algérie, il suffit de consulter le volume des échanges pour s’en convaincre. Le Maroc constituait un bol d’oxygène, tant pour l’emploi que pour le … reste !
- Le port de Casablanca en 1907.
- Une des dernières sorties des barcassiers, qui assuraient la navette entre les quais et les bateaux en rade, pour le contrôle sanitaire, transport de marchandises et de personnes etc.
- Au fond, le minaret de la mosquée de Oueld El Hamra, à gauche, la consolidation de la muraille pour supporter les … vagues, avant les travaux d’extension du port.
- l’Immeuble et ou le … palais Toscan en construction. Cet édifice donnera le LA, sur le caractère COSMOPOLITE de la ville de Dar El Baida – Casablanca !
- Ce sont les Espagnols qui vont les premiers élire domicile à Dar El Baida, sous le règne du Sultan Sidi Mohammed Ben Abdellah. Le premier consulat installé à Dar El Baida – Casablanca en 1799 est … Espagnol, d’où la traduction du nom de la ville, de l’arabe à l’espagnol.
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- Le Sultan Moulay Abdelaziz avait reçu à sept reprises son Khalifa pour le Sahara, Cheikh Maa Al Aïnin, quatre audiences à Marrakech et trois à Fès.
- Photo historique, qui représente l’arrivée solennelle du Cheikh Maa Al Aïnin à Fès.
- S.M. Hassan II à Belgrade, le 8 septembre 1961,lors du sommet des non-alignés, dénonce les manœuvres coloniales.
- Le premier novembre 1961 : A l’occasion de la journée de solidarité avec l’Algérie S.M. Hassan II : Nous sommes convaincus, que nos villes spoliées reviendrons à la mère patrie.
- Discours de S.M. Hassan II du 23 mars 1972 : Poursuivre notre action pour la libération.
- S.M. Hassan II, garant de la liberté et de l’unité territoriale nationale.
- Le 4 juillet 1974 : Lettre de S.M. Hassan II au Général Franco.
- S.M. Hassan II
- S.A.R. le prince héritier Sidi Mohammed accompagné de ses sœurs les princesses, en visite dans les provinces d’Agadir et Tarfaya.
- S.A.R. le prince Sidi Mohammed.
- Discours de S.A.R. le prince héritier Sidi Mohammed devant les délégations du Sahara à Tan Tan.
- Discours de S.A.R. le prince héritier Sidi Mohammed au Mess des officiers.
- Les réunions consacrées par Sa Majesté au Sahara Marocain occupé.
- Sa Majesté reçoit la délégation qui représente les tribus du Sahara.
- Les représentants des habitants du Sahara Marocain.
- S.M. Hassan II reçoit la délégation des habitants du Sahara Marocain spolié, présidée par Cadi de Laayoun,
- S.M. Hassan II reçoit, la délégation des habitants du Sahara Marocain spolié, présidée par le Cadi de Laayoun.
- S.M. Hassan II reçoit la délégation des habitants du Sahara Marocain spolié, présidée par le Cadi de Laayoun.
- S.M. Mohammed V reçoit le Résident Général Guillaume en présence de S.A.R le prince héritier Moulay Hassan qui assure la traduction de l’entretien.
- Le 20 Août 1953 : Sur ordre du Résident Général Guillaume, le Sultan légitime Sidi Mohammed Ben Youssef est conduit à l’exil.
- En Corse.
- A Madagascar.
- Le repas de l’exil.
- En compagnie de la princesse Lalla Amina née en exil à Madagascar.
- A Madagascar.
- A la mosquée de Tananarive.
- Promenade.
- Retour d’exil en France.
- Le père de la nation.
- Il reçoit François Mauriac, un grand ami du Maroc.
- Le retour.
- Historique : l’Inoubliable journée du 16 novembre 1955.
- Remise par Sa Majesté de la coupe du trône à Filali du Mouloudia Club d’Oujda. Complexe Mohammed V à Casablanca,
- Visite attentive d’une école.
- Retour triomphal de S.M. Mohammed V, tenant entre ses mains l’acte de l’indépendance (2 Mars 1956)
- Le symbole de la frontière fictive, tracée par le protectorat (espagnol et français) vient de tomber et avec … la fin de la falsification de l’histoire du Maroc.
- S.M. Mohammed V en visite au sud du pays.
- S.M. Mohammed V.
- l’aviso Galilée qui participa au bombardement de la ville de Casablanca, désignée par les chasseurs, sous l’appellation de … Bourgade !
- Le Sultan Moulay Hafid (1908-1912)
- Les bidonvilles de Casablanca en 1953 !
- Au centre de la ville Européenne : La place Lyautey, aménagée et dotée de tous les éléments nécessaires propres aux villes coloniales : statues, casernes, cercle des officiers, théâtre dit municipal, tribunal de juridiction française, subdivision militaire, services municipaux etc.
- 1954 : La famille royale en exil à Madagascar.
- Plaque commémorative relative à l’exil de la famille royale en Corse en 1953.
- En exil à Madagascar, S.M. le Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef en compagnie de la princesse Lalla Amina.
- Le sud Marocain.
- Le sud Marocain.
- S.M. Mohammed V.
- 1953 : Le Centenaire de la médaille militaire, au profit des œuvres de solidarité franco-marocaine.
- Manifestation des femmes marocaines de l’ex zone nord, sous protectorat Espagnol, contre la présence étrangère et l’exil de la famille royale.
- Au Boulevard de la Gare à Casablanca. La légende qui accompagne cette photo … Femmes libres, modernes et épanouies à Casablanca… C’était dans les années 50, la classe !
- Nos « valeureux » et « sympathiques » petits cireurs … qui portaient un numéro inscrit sur une plaque en métal jaune, cousue sur leur tarbouch rouge : Dans les années 50, pas loin du Bd de la Gare, du coté de la place de France et du Bd du 4° Zouaves !
- Le port de Casablanca et ses deux villes, arabes et européenne …
- Les bidons …
- Le légionnaire.
- Le port face aux deux villes de … Casablanca, la première à été amputée de sa muraille plus que millénaire, de ses portes et de son Mellah, la deuxième ville, conçue par les urbanistes de la Résidence Générale, aura pour objectif stratégique, la mise en valeur permanente et sans répit des « réalisations » du protectorat à travers les cartes postales, consacrées exclusivement à la ville européenne et où au quartier réservé à la prostitution, connu sous le nom de bousbir, classé parmi le « patrimoine de la ville de Casablanca »
- Petit rappel pour les chasseurs, juste pour leur donner l’occasion de faire la connaissance de l’organisation administrative de la ville de Dar El Baida.
- 1 : Les Consulats avant le protectorat.
- 2 : Les Consulats avant le protectorat.
- 2 : Les Consulats avant le protectorat.
- 3 : Les Consulats avant le protectorat.
- 4 : Les Consulats avant le protectorat.
- Le port de Casablanca, depuis les Berghouatas à ce jour, poursuit son chemin vers plus de prospérité.
- La dernière page du contrat signé entre S.Ex Mohamed Ben Larbi Torrès, représentant de S.M. le Sultan Moulay Abdelaziz à Tanger et la société Française – Compagnie Marocaine – dont le siège est à Paris. Les signatures ont été reconnues par Monsieur l’ambassadeur de France Regnault, qui représentera son pays en 1912, lors des « négociations » avec le Sultan Moulay Hafid, pour imposer l’acte de Protectorat. N.B Les contrats liants le Gouvernement marocain et les deux autres sociétés, Espagnole pour les travaux du port de Larache, et Allemande pour les travaux du port de Tanger, ont été eux aussi, légalisés par les ambassadeurs respectifs de ces deux puissances européennes.
- l’histoire réelle de la ville de Casablanca …
- l’histoire réelle de la ville de Casablanca …
- l’histoire réelle de la ville de Casablanca.
- Les enfants du pays ne sont pas concernés par ce type de message… La date du 7 novembre 1941, sera célébrée un an après, par l’intervention des forces américaines, dans le cadre de l’opération Torch, qui avait pour objectif de libérer les Français.
- Angle 4° Zouaves et Place de France Au sein de la ville européenne : l’ancienne agence de la Banque d’Etat du Maroc, sera mise à la disposition de l’Association des anciens combattants et victimes de la guerre du Maroc !
- Les chantiers de la jeunesse française étaient très actifs à Casablanca, le centre de formation et d’embrigadement se trouvait en banlieue de la ville de Benslimane, qui portait le nom d’un officier nommé Boulhaut…
- Les tentatives d’approche, destinées à « récupérer » les enfants du pays ont été vouées à l’échec grâce à la vigilance des nationalistes, qui faisaient face à toutes les propagandes de la Résidence.
- Après Sidi Brahim et Lyautey, c’est autour de Foucault de faire la une des chantiers de Boulhaut !
- Vaste projet sous le régime de Vichy.
- En l’honneur de leur chef !
- Un des nombreux écussons, fait sur mesure …
- Le Résident Général Noguès, représentant le régime du Maréchal Pétain, dont une grande artère de la ville européenne, portait le nom !
- La couverture d’une des revues publiée au Maroc, sous le régime de Vichy. Le titre à lui seul, exprime les objectifs des « politiques » mises en pratique au Maroc de puis 1912 « Notre Maroc » !!!
- A l’école.
- Une des revues publiées au Maroc sous le régime de Vichy. Le titre de cette publication ne laisse aucun doute sur les objectifs du protectorat, depuis l’année 1912 !
- A l’école.
- La jeunesse de « leur » Maroc !
- La presse et Radio-Maroc !
- Ils transformèrent le nom du patron de la ville Sidi Benslimane par celui d’un officier, mort lors d’un combat contre les résistants de la Chaouia !
- Le salut aux couleurs dans les colonies de vacances des Phosphates (Office Chérifien des Phosphates) à Mazagan – El Jadida.
- Au dessus de l’image des cheftaines à Ifrane … Phosphates, Jeunesse, France !
- La jeunesse au Maroc !
- Le chantier de Boulhaut, portait le 101 !
- Grace à la clairvoyance de S.M. le Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef et sous son règne, le Maroc fera face à toutes les turpitudes du système colonial, toutes catégories confondues …
- En veux-tu en voilà …
- Quand le bâtiment va, tout va !
- Affiche de rationnement de sucre, diffusée au Maroc … Tout l’intérêt qu’on nous prêtait !
- Au fameux camp de Benslimane dit Boulhaut : Le Résident Général Noguès, au milieu des jeunes du Maroc !!!
- Inconnus au bataillon des scouts marocains ! Nous n’avons jamais porté de tarbouch de quelques couleurs qu’ils soient. Le système colonial avait cette manie, de faire porter le … chapeau à ses administrés des colonies, pas chez nous !
- Le Maréchal Pétain, c’est lui qui prendra la relève en tant que chef des armées au Maroc, du Résident Général, le Maréchal Lyautey, ce dernier à été démis de ses fonctions de commandant des forces armées et contraint à la démission.
- Les scouts du Maréchal Pétain, défilent sous les arcades de la ville de Rabat. Le centre de formation et d’embrigadement se trouvait à Benslimane, baptisé par les ultras Camp Boulhaut, du nom de l’officier tué par les résistants de la Chaouia. Après l’indépendance, les habitants Marocains de la ville, ont appris avec joie le changement du nom de Foucauld par celui de Benslimane, au gran dam des nostalgiques du protectorat !
- Un Maréchal et deux Généraux s’adressent aux … jeunes du Maroc !!!
- Avisé à la dernière minute de l’arrivée par avion du Maréchal Pétain, le Résident Général Lyautey, n’arrive pas à cacher son désarroi … en présence de son remplaçant, au poste de chef des armées !!!
- C’est le Maréchal Pétain qui prendra en main la direction des opérations militaires contre les résistants de Mohamed Ben Abdelkrim Khettabi. C’est grâce à la collusion des forces armées françaises et espagnoles, des bombardements intensifs de la population civile, et l’usage d’armes chimiques, que la guerre du Rif à pris fin !!!
- l’exemple de l’obscur auteur, qui se mélange les pinceaux !
- N’importe quoi !
- Les feux du douar !
- Les M … ores !
- Cette image reflète l’état d’esprit de la Résidence « en » Général. Il s’agit là d’un grossier montage, représentant des marocains « enthousiasmés » par le discours du fameux dirigeants nommé Faure, des « Gardes » et responsables des jeunes du Maroc !!!
- Carte de scout, délivrée à un jeune marocain : – Il fait désormais parti du groupe … de Brazza ! – Il habite la province de … Maroc.
- Les bonnes intentions !
- Comme d’habitude … Depuis 1912 !
- Les frères Tharaud ont été invités officiellement par le Résident Général, le Maréchal Lyautey, pour une visite officielle qui leur donnera l’occasion de parcourir les principales villes tels Rabat, Marrakech, Fès etc. Ils n’ont pas hésiter une seconde à mettre au diapason de la Résidence, l’approche « folklorique » de la situation réelle du Maroc et des gens du pays. Après avoir déguster les mets dans la « settiniyya » au son d’un orchestre de musique « folklorique », ils ne tarirons pas d’éloge à l’encontre du pacha de Marrakech, Haj Thami Glaoui, qu’on reconnait à travers le(s) seigneur(s) de l’Atlas !!!
- Une table des matières digne de Jamaà Lefna, qui correspond parfaitement aux besoins des consommateurs de « sensationnels » et « exotiques » racontars de l’époque !
- Large éventail du monde « imaginaire » de la littérature coloniale.
- Chez les Editions « ANTAR » l’œil de Mahmoud ! C’est une véritable obsession, cette manie de plagier nos valeureux et inimitables helaykias de jamaa Lefna !
- TISKI, TALIA, MOHA, MENNAN, LA GUERRE DU RIF (F) !!!
- « parmi les nombreux ouvrages inspirés par la conquête marocaine … De l’occupation 1907-1912 au protectorat 1912-1956, seuls les étrangers avaient en charge d’écrire … l’histoire, les gens du pays devaient tenir, à leur corps défendant, bien calés dans leur strapontin, le « rôle » de figurants. Après l’indépendance du pays, de nouvelles techniques de communication, seront mises en place, à travers les « nostalgiques » œuvres coloniales, comme au bon vieux temps !!!
- Le Maroc héroïque par le médecin capitaine Jean Vial. de l’histoire … chez Hachette.
- On se demande encore, de quel Maroc il s’agit !!!
- A partir de la gauche, en tenue blanche, le héros de la guerre du Rif, Mohamed Ben Abdelkrim Khattabi, à ses cotés assis son père, à droite son frères Si Mhamed, diplômé de l’école des ingénieurs de Madrid. Au centre des investisseurs espagnols. Sous le protectorat, donner le prénom de Abdelkrim à un nouveau né, était considéré comme un délit par les responsables de la Résidence !
- Le général Lyautey commandant les forces armées stationnées à la frontière marocaine … faisait parti du cercle fermé, du fameux Etienne, chef de file du parti colonial à l’Assemblée nationale. C’est à partir de l’Algérie que Lyautey sera promu général de brigade, qu’il occupera la ville d’Oujda, annexera Colomb Bechar, lancera ses troupes contre les Beni Senassen et enfin, préparera les troupes qui seront chargées d’occuper la ville de Casablanca en août 1907, après son bombardement !
- Spécialistes des effets d’annonces, les frères Tharaud n’hésitaient pas à monter au créneau …Etendard (vert) au vent !
- La table (des matières) est servie !
- La table (des matières) est servie !
- Encore et toujours … On ne saura jamais rien, sur les autres soldats de la métropole et ou des colonies !
- La table (des matières) est riche en calories !
- Par Georges Gorrée, moine missionnaire du père de Foucauld.
- DU MEME AUTEUR.
- Chargés par le destin d’écrire l’histoire des aventures « marocaines » de leurs coreligionnaires, de nombreuses personnes, une fois installées au Maroc où à … distance, se découvrent un talent de conteurs !
- Sous l’Etendard vert !
- Henry Bénazet tire la sonnette d’alarme …
- Une propagande programmée à travers les ondes, par les services parisiens de l’armée allemande !
- Cette annonce concerne (évidemment) les immeubles de la ville européenne (haut lieu de l’architecture de style ardéco) les habitations des « Médinas » et autres bidonvilles, ne sont aucunement concernés, l’eau courante faisait défaut, à la plupart des … habitations !
- Le caractère cosmopolite et historique de Dar El Baida : La mémoire de la ville européenne de Casablanca et son patrimoine immatériel, représentent pour les enfants du pays et pour les étrangers une richesse exceptionnelle. Malheureusement, cet aspect historique n’est pas (suffisamment) développé en terme de … communication !
- Après le débarquement des troupes américaines en novembre 1942, changement de cap … Annonce par voie de presse et affiches pour le au corps franc d’Afrique. Il faut souligner, la rapidité avec laquelle les ex pétainistes se sont « convertis » en « défenseurs » de la libération de leur pays !
- Les thèmes obéissent à un « canevas » préétabli par les spécialistes du folklore et du dénigrement. Sous couvert de « découvertes » seuls, des personnes « imaginaires » du type Jamaà Lefna, occuperont les premières loges … Le BADDA en question obtiendra le grand prix de la littérature coloniale de l’année 1922 !!! De nos jours, les thèmes « préférés » doivent pour leur part « effleurer » des sujets évocateurs d’un exotisme renaissant !
- l’Art et la manière d’entretenir l’amalgame.
- Après un copieux repas constitué des mets les plus succulents de la cuisine marocaine à Marrakech, cet auteur nous invite à « découvrir » la … région !
- Ailleurs, il y a certainement des oreilles … de chats, percées !
- Il y avait un … prix littéraire du Maroc, réservé aux bons élèves qui … dans le sens du poil : 1) Ne jamais mettre en valeur une quelconque personnalité marocaine, parmi les intellectuels, les résistants etc.
- A son arrivée à Dar El Makhzen de Casablanca en 1910, le Sultan Moulay Hafid est salué à son arrivée par le général Moinier, commandant des forces d’occupation de la Chaouia.
- Le phonographe qui à été offert au Sultan Moulay Hafid, par les commerçants étrangers de la ville de Casablanca.
- Place Mohammed V.
- Au parc Lyautey, inauguration du monument à la mémoire du père Charles de Foucauld, par le Maréchal Lyautey !
- Place Lyautey : Opération de déplacement du monument de la victoire, inauguré par le Maréchal Lyautey.
- contes et légendes du Maroc.
- contes et légendes du Maroc.
- Dans l’ombre du Maréchal Lyautey.
- Dans l’ombre du Maréchal Lyautey.
- Le personnel de la Manutention Marocaine au port de Casablanca.
- l’Ancienne prison d’Anfa du XVI° siècle.
- Les arcades de l’ancienne prison d’Anfa, déplacées sous le protectorat au parc Lyautey.
- La prison civile connue sous le protectorat de « ghbeyla » un lieu de mémoire de la résistance, qui constitue le patrimoine réelle, tant matériel qu’immatériel de l’histoire du Maroc en général et de la ville de Casablanca, en particulier.
- C’est le premier résistant-prisonnier marocain, incarcéré après le bombardement de la ville en août 1907.
- l’un des nationalistes de la ville de Casablanca, connu sous le nom de Hmidou El Watani, cible privilégiée des sbires du système colonial … Une des rues de la ville porte son nom Ahmed Faris.
- Document historique : L e nouveau Résident Général Théodore Steeg, accompagné du maréchal Pétain au débarcadère de Casablanca, en novembre 1925, juste après le départ de l’ex Résident Général, le maréchal Lyautey !
- Caserne des Zouaves et siège du tribunal militaire de Casablanca.
- 1943 : Au camp Caze – Aéroport d’Anfa de Casablanca, chaine de montage du matériel américain débarqué à Casablanca. Toutes les armes, ici la marine, participent à ce travail essentiel, pour libérer l’Europe.
- Une des nombreuses Associations de la ville européenne de Casablanca.
- Une des médailles commémoratives de la « pacification du Maroc », elle représente le Résident Général Lyautey, recevant des caïds des « régions » soumises.
- Le symbole de la résistance Mohamed Ben Abdelkrim Khattabi (qui a été à l’origine du remplacement du Maréchal Lyautey, par le Maréchal Pétain) en exil à la Réunion. A Casablanca, les parents qui choisissaient pour leur nouveau-né le prénom de ABDELKRIM, étaient sommés de choisir un autre prénom et menacé d’emprisonnement !
- Petit formulaire pratique et où Guide pratique pour : commander, se faire servir et se renseigner. Remboursement garanti, en cas de non respect des « instructions » données !
- C’est l’occasion de faire la connaissance du Lieutenant Pol Boulhaut, officier tué au cours d’un engagement avec les valeureux résistants de la Chaouia, la Résidence fera de Benslimane le fief des nostalgiques du protectorat. 1) Elle remplacera le nom de Benslimane par celui de Boulhaut. 2) Elle élèvera un monument à la mémoire de cet officier. 3) Sous le régime de Vichy, Boulhaut sera transformé en centre d’embrigadement des vichystes. Il fallait attendre l’indépendance du pays, pour assister au rétablissement du nom de la ville en Benslimane.
- Ce son les religieux de l’Eglise Espagnole Buenaventura, qui assureront les cérémonies funéraires.
- Bousbir et sa très longue et unique histoire !
- Caserne des Sapeurs-pompiers.
- La caserne Heude…
- Vue aérienne de bousbir.
- 1924 : Carte illustrée de soutien à Mohamed Ben Abdelkrim Khattabi.
- Les goumiers à l’entrainement dans les montagnes de l’Atlas.
- Goumier marocain : le casque est anglais, le pistolet mitrailleur américain …
- Une image du goumier marocain, publiée à tour de bras, pour « entretenir » une fausse image !
- Les goumiers libérateurs !
- Le vrai visage du soldat marocain !
- La résistance au Maroc en 1912 !
- Un des nombreux échantillons … Juste après le bombardement de la ville de Casablanca en août 1907 !
- Dans une des nombreuses casernes de Casablanca. Opération de dépouillage …
- Le petit marocain clame les mérites de la vigie marocaine, du groupe Mas. Difficile d’arrêter le progrès !
- Une des plaques de la ville européenne aux Roches Noires, la rue Jean Bart.
- La légende « Sous mon tapis vous trouverez les vues de Casablanca ». Il faut entendre par Casablanca, les vues de la ville européenne !
- 1920 : Les scouts de la ville européenne en compagnie de leurs parents, prennent de l’air à Ain Diab.
- 1917 : Inauguration par le Résident Général Lyautey du Bd Ballande, en présence de la colonie Européenne .
- La liste des Architectes de Casablanca en 1962 !
- Des plaques portant le nom de l’Architecte et parfois celui de l’Entrepreneur, étaient scellées sur les façades de la plupart des immeubles de la ville européenne ! Ce moyen de communication sous le protectorat, avait le mérite de lever toutes équivoques, sur l’identité évidente des hommes de l’art.
- Le Boulevard de la Gare à été aménagé pour répondre aux besoins spécifiques des habitants de la ville européenne, C’est le « centre » de toute l’activité économique et culturelle : établissements financiers, salles de projections cinématographiques, assurances, dancings, clubs, terrains de sports, lieux de cultes, théâtres etc. A titre d’exemple, le premier guichet bancaire n’a vu le jour en Nouvelle Médina qu’en 1960 !!!
- De gauche à droite : facteur, groom et cocher (fiacre) tous, des habitants de la … ville européenne.
- Bd de la Gare.
- Un des aspects de la ville européenne.
- La ville européenne prend résolument, l’allure d’une véritable et authentique ville coloniale.
- Bd de la Gare.
- Place de France, à partir de la gauche le premier fond connu sous nom de « roi de la bière ».
- Les « grands bazars » du boulevard de la Gare !
- C’est l’armée qui ouvre le « bal » des carnavals de la ville européenne !
- La mémoire de la ville européenne de Casablanca, qui fait partie intégrante de notre patrimoine, est riche en évènements et traditions séculaires de ses habitants !!!
- Femmes marocaines en tenues traditionnelles, sous les arcades de l’école des beaux arts !
- La légende de la carte postale « Types Marocains »
- Fédala !
- La légende « Le plat à couscous et l’œil de Jéhovah »
- M. Jean Jaurès l’antimilitariste.
- Plaque en zellij des années 1930.
- Heureuse initiative certainement privée, à Casablanca. Une fresque murale de toute beauté, en hommage à ce grand homme !
- M. Mendes France à Casablanca, lors d’un diner en compagnie de personnalités marocaines.
- A Casablanca : Prise de contact avec les personnalités marocaines !
- La porte d’entrée du cimetière européen de Ben Msik.
- Au lendemain de l’indépendance : La nouvelle génération des trains de l’Office National des Chemins de Fer.
- Trains navettes rapides sur Rabat-Casablanca. Le 21 mai 1984, deux jours après l’inauguration solennelle, le service commercial des trains navettes rapides (TNR) a débuté sur la relation Rabat-ville – Casablanca-port.
- Annuaire 1938
- Annuaire 1953
- Annuaire 1962
- Annuaire 1962
- Gare de Casablanca-port des années 1950.
- Gare de Casablanca-port dans les années 1950.
- 1954 : Gare de Casablanca-port face au sanctuaire de Sidi Beliout.
- Plage de Sidi Beliout dans les années 1920.
- LA FETE DU MOULOUD A L’EMPLACEMENT OU SE TROUVE L’ACTUELLE GARE DE CASA – PORT.
- La plage de Sidi Beliout à l’emplacement ou se trouve actuellement la Gare de Casa – port.
- La Gare maritime dans les années 1930.
- A partir du port, vue vers l’ex Bd du 4ème Zouaves.
- Le train des voyageurs à l’intérieur du port, pour prendre à son bord les touristes à destination d’une ville impériale.
- Au premier plan Sidi Beliout, à droite, la Gare de Casa – port.
- La première gare de Casablanca se trouvait à Aïn Mazi, à l’emplacement de l’actuel immeuble de la Comanav. Son origine remonte à 1907, avec le démarrage des travaux du port !
- Sidi Beliout.
- Panneau indicateur des Chemins de Fer du Maroc (CFM) de la Gare de Casablanca – port.
- Du zellij pour nos enseignes.
- Une des enseignes en zellij.
- Superbes écussons !
- Dar El Baida – Casablanca, reçoit le Sultan Moulay Hafid le 2 novembre 1911. La mention manuscrite du soldat : Porte de Bab el-Rah (lire Bab Reha (qui sera démolie par les soins de la Résidence) « quinze jours de prison pour y avoir passé même avec une permission »
- Il serait temps de revenir à nos anciennes et significatives appellations, qui correspondent, le mieux possible aux lieux d’origine : Gare de Sidi Beliout ( Gare de Casa-port) et ou Gare de Casablanca Voyageurs (Gare de Casa-Voyageurs).
- Pour constituer le dossier de la Résidence qui sera pris en charge par le Glaoui, pacha de Marrakech. Tous les photographes de l’époque ,ont été mobilisés pour réaliser des photos « spontanées » représentant des gens du pays, souriants et épanouis …
- 1953 : La mascarade va prendre des dimensions inattendues, les résistants marocains, vont pour la circonstance, administrer une bonne correction aux comploteurs de tous bords, jusqu’au retour d’exil de Feu S.M. Mohammed V le 16 novembre 1955.
- Les résistants marocains feront sauter en éclat, la propagande de la Résidence et de ses sbires !
- l’organisation des ultras et aux aboies. La fin d’un redoutable système est toute proche.
- 1950 : S.M. le Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef, entouré des princes et princesses.
- Mohamed Hassan Ouazzani et Mohamed Ben Larbi Alaoui.
- Le Maroc des années 1950 : Manifestation des femmes marocaines de la zone sous protectorat espagnol, contre l’exil de feu Mohammed V !
- Les années 50 : Femmes de ménage en tenues traditionnelles, chargées d’accompagner les enfants place Lyautey.
- Les années 50 : Au parc Lyautey.
- Les années 50 : La résistante Aïcha Bent Allal Laatabi.
- Les années 50 : Couscous !
- Les années 50. La promenade.
- Les années 50.
- Les années 50 : Pour les besoins des habitants de la ville européenne, la municipalité autorisa, l’installation d’u théâtre de verdure connu aussi sous le nom de théâtre de plein air. C’est l’ancêtre du théâtre dit la Baraque !!!
- Les années 50 : Les écoliers en fête au parc Lyautey.
- Les années 50 : La beauté du geste à la Casablancaise.
- Les années 1925 : Si nous remontons plus loin, pour meubler la toile, nous découvrirons des images similaires. Cette photo représente (en 1925) un groupe des participants au concours de l’institut de sténographie de France, venus concourir sous la … coupole du parc Lyautey !!!
- Si Abdeslam Bennani, portant l’écharpe des scouts Hassania, dont il était l’un des fondateurs et dirigeant à Casablanca, rend visite au lendemain de l’indépendance à la première section des motards, constituée à Casablanca !
- Si Abdeslam Bennani, enchainé et menotté après son arrestation, dans les années 50.
- Avec ses compagnons de détention.
- Le Petit Journal du 24 novembre 1907.
- La Télégraphie sans fil, sera installée par le Consulat de France, suivi par les principaux consulats.
- l’Apparition de la radio !
- Salah El Madkouri, un des premiers techniciens marocains de la Radio, en Nouvelle Médina, Derb Sultan, Rue Angora, pas loin de Kissaria El Haffari (qui n’existait pas à l’époque) au centre des rues de Beyrouth, Monastir, Zambèze, Smyrne etc.
- Radio Madkori
- Photo A. Naguib : La plaque de la rue et du quartier de la T.S.F, pas loin de la Foire Internationale de Casablanca.
- Dabs les années 1940, pour les besoins de la propagande « guerrière », une radio allemande (Paris Mondial transmettait ses programmes radio, destinés aux auditeurs marocains en darija … déjà !
- Le quartier T.S.F, au premier plan la piscine municipale de Casablanca !
- La marque ONDIA, le triomphe de la technique !
- Casa Radio !
- Photo Abdellah Naguib : l’immeuble Shell, place du général Patton.
- Photo Abdellah Naguib : Sur le fronton de l’immeuble Shell.
- Bd Mohammed V ex Bd de la Gare : le général Clark, salué par un détachement de l’armée américaine, se dirige vers l’immeuble Shell, siège du commandement américain.
- l’ANFA HOTEL.
- Abdeslam Bennani homme de terrain pour diriger le mouvement des scouts Hassania à Casablanca.
- Le premier responsable de l’activité sportive à Casablanca, et le fondateur de la Ligue libre de Football, qui regroupera des équipes de tout le Maroc.
- C’est l’organisateur et la cheville ouvrière de la coupe du Trône de Football et de cyclisme, qui se déroulait à Rabat en présence du prince héritier Moulay Hassan, le future roi Hassan II. A coté de Si Abdeslam Bennani, le vainqueur Mohamed Ben Bouazza et le grand champion Bahloul, connu sous le nom de Mohamed Ben Ahmed.
- Après son arrestation et son incarcération à la prison civile de Casablanca, connue sous le nom de Ghbeila, en plein centre de Derb Sultan (Nouvelle Médina) il à été … autorisé à porter des lunettes de vue !
- Le transfert de la prison de Casablanca de Si Abdeslam Bennani à la (Maison) prison centrale de Kenitra.
- Si Abdeslam Bennani.
- Vive la liberté : Carte de notre poste T.S.F dite « d’auditeur », qui avait pour objectif d’exercer un meilleur contrôle durant la 2° guerre mondiale sur les auditeurs marocains, des radios « Paris » contrôlée par les allemands, radio Berlin et Rome. Dans les années 1950, c’est la chasse aux « auditeurs » de la Voix des arabes diffusée à partir du Caire !
- Au lendemain de l’indépendance du Maroc, changement de décor, la publicité se fait désormais en … arabe. Comme si les statistiques ci-dessus n’ont jamais existées !
- S.M Mohammed V et son prince héritier Moulay Hassan, accompagnés des membres de la délégation marocaine, qui participèrent aux négociations avec la France.
- Une délégation des scouts marocains, lors de sa participation à la fête du Trône.
- Un groupe de résistants incarcéré dans la prison civile de Casablanca dit Ghbeyla. On reconnait parmi eux Mohamed Mansour, Laraichi etc.
- Abdelkhalek Torrès en compagnie du résistant Hassan Laraichi.
- 1950 : Réunion de propagande aux Carrières Centrales (Hay Mohammedi) organisée par le protectorat et l’assistance technique du fameux Boniface, chef de la région civile de Casablanca. Ils ont poussé la plaisanterie, jusqu’au point de faire croire à la présence d’une « Jemaa » au sein d’un centre urbain. La partie de l’image entourée, représente, l’équipe européenne de Boniface !
- 2 Mars 1956, la signature de l’acte d’indépendance du Maroc.
- Discours de S.M. Mohammed V à Casablanca, après la libération du pays.
- En avril 1947, S.M. Mohammed V, traverse la zone dite espagnole, pour une visite officielle à Tanger.
- Notre Maroc : Réunion de travail entre le prince Moulay Hassan et ses invités : Lahcen Lyoussi, Moulay Larbi Alaoui, Mokhtar Soussi, Zeghari.
- Dans les années 1950 : Mohamed Ben Abdelkrim Khattabi, dans son domicile du Caire, accorde une interview à un quotidien français.
- Notre Maroc : Après l’indépendance du pays, visite des membres du gouvernement marocain à Tétouan. Cette photo souvenir regroupe à partir de la gauche, les personnalités suivantes : Le ministre M° Abdelkader Ben Jelloun, SAI Moulay Hassan Ben Mehdi, Khalifa du Sultan à Tétouan, le ministre, Dr Léon Benzaquen, le ministre Ahmed Bensouda, le ministre Ahmed Lyazidi, Allal Fassi, Fkih Chati, Abdelkhalek Torrès.
- Le résistant Mohammed Zerktouni.
- Si Abdeslam Bennani entouré de jeunes nationalistes.
- Jean Delage en tenue claire, lors de la présentation d’une exposition iconographique, au ministre du tourisme Moulay Ahmed Alaoui.
- La Foire Internationale de Casablanca, du temps de sa splendeur sous la houlette de Si Dadoun Mohamed. Jean Delage rédacteur en chef du journal de la F.I.C.
- Casablanca en 1943 : La Conférence d’Anfa avait réuni de gauche à droite, le Général Giraud, le Président Roosevelt, le Général de Gaulle et le premier ministre anglais Churchill.
- 1- le mémorandum d’Anfa.
- 2- le mémorandum d’Anfa.
- 3- le mémorandum d’Anfa.
- Depuis le règne du Sultan alaouite, Sidi Mohammed Ben Abdellah, ce message traduit les solides relations entre le Maroc et les Etats Unis d’Amérique.
- A Casablanca, au quartier de Bournazel (Nom d’un officier de l’Armée), les élèves européens de l’Ecole Professionnelle de Radioélectricité .
- Inauguration de la première école de la ville Européenne de Casablanca par l’Etat mojor de l’armée, conduit par le Général Lyautey, Résident Général, accompagné du Général Franchet d’Esperey et d’autres officiers. De dos on distingue la silhouette du Consul Général de France à Casablanca. Cette école, future premier Lycée est située à l’emplacement exact de l’actuel immeuble de Bank Al Maghreb (ex Banque d’Etat du Maroc), angle du Bd de Paris et l’Avenue Hassan II ex Avenue d’Amade.
- Le Lycée de Jeunes filles.
- Le Lycée de Jeunes filles.
- Le Lycée de Jeunes Filles.
- Le Lycée de Jeunes Filles.
- Le Lycée de Jeunes Filles.
- Le Lycée de Jeunes Filles.
- Ecole secondaire pour jeunes filles.
- Ecole de jeunes filles, la partie de croquet.
- Le premier établissement scolaire de la ville européenne, inauguré par le Résident Général Lyautey.
- La première école d’horlogerie et de mécanique de précision de la ville européenne au quartier de Beauséjour.
- Conférence d’Anfa : La rencontre entre le président Roosevelt et S.M. Mohammed V.
- M. Delage évoque ses souvenirs avec Monsieur Latreille et son épouse, cette image nous montre de dos, M. Pierre Latreille directeur général du Crédit Lyonnais au Maroc (Crédit du Maroc) présentant son successeur, Haj Abdelmajid Benjelloun (BMCE) à la tête du Groupement professionnel des banques au Maroc (ex OPBM). Un moment historique dans les annales du secteur bancaire au Maroc. Seul, un Français de la trempe de M. Latreille était en mesure d’assumer la transition au moment de la passation des pouvoirs.
- Rue de Strasbourg au Derb Omar : La première agence du Crédit Lyonnais au Maroc.
- SAINT-GERMAIN-EN-LAYE
- Le Musée.
- Au fond l’hôtel Henri IV.
- l’Entrée du Pavillon Henri IV.
- Les Armoiries du pavillon.
- Le Musée.
- l’entrée du Musée.
- Plafond du pavillon.
- En novembre 1955 : C’est dans ce pavillon que S.M. Mohammed V, recevra les personnalités marocaines, qui affluèrent vers ce lieu pour lui témoigner leur attachement au Trône alaouite. C’est à cet endroit, que le pacha de Marrakech est venu demander le pardon.
- Plaque commémorative inaugurée par Sa Majesté Le Roi Hassan II Le 1° Novembre 1983. Le Texte » Dans cet Hotel ont séjourné Sa Majesté Mohamed V et sa noble famille du 1° au 16 novembre 1955 après le retour d’exil. Au cours de cette période, des négociations ont été menées avec le Gouvernement Français, négociations qui ont abouti au retour du Maroc à son état d’indépendance.
- Plaque commémorative historique.
- A Saint-Germain-en-Laye : Au fond les plaques commémoratives relatives au séjour de S.M. Mohammed V.
- Fascicule édité par l’Etat-Major des Troupes du Maroc : Destiné aux jeunes Français qui venaient au Maroc dans les années 1950, faire leur service militaire.
- A Casablanca, il y avait une belle statue équestre, à l’instar de celle de Dakar, commémorant la victoire de la première guerre mondiale. Elle représentait elle aussi, deux soldats marocain et français. L’inauguration de ce monument avait été présidé par le Résident Général Lyautey dans les années 1920 en présence des habitants de la ville européenne.
- Photo de S.M. Mohammed V, prise dans son palais à Oualidia en 1946. S.M. effectuera la même année, une visite à l’école Libre « NAJAH » d’El-Jadida.
- Les péripéties d’une école libre, sous le protectorat au Maroc, par Kacem Zhiri.
- Le staff de l’école Tahdib, de gauche à droite : Radia Lemseffriya, le courageux et grand nationaliste, Sidi Kacem Laraki, Driss Lemseffer, directeur de l’école libre « Essafa » et Abdesslam Lemseffer.
- La première lettre d’une longue série …
- Suite de la première lettre, signée par Kacem Zhiri.
- Le Maroc des années 1940 : Visite de Allel El Fassi à El Jadida, entouré de Kacem Zhiri, Laraki et du corps enseignant.
- Les écoles libres, un foyer de militantisme, face à l’agressive politique de la Résidence : Au centre du premier rang, Zineb Bent El Mekki Dehbi, une des premières enseignantes marocaines de sa génération.
- Un échantillon de la désinvolture et du mépris de l’administration de la Résidence, envers une demande légitime des enfants du pays. Si Kacem Zhiri, l’homme connu pour son intégrité morale et son engagement de combattant pour la libération de son pays, nous réserve d’autres surprises !
- Photo de la ville de Kenitra, en 1910, lors de la prise de la ville par les troupes d’occupation. La légende qui accompagna la publication de cette image en dit long, sur les intentions des occupants… « La télégraphie sans fil installée sur la mosquée d’El K’nitra » !
- Il ne s’agit pas de « lenteur administrative » mais simplement d’entraves à la création d’écoles libres pour les jeunes marocains ! – Le titre de directeur de l’enseignement, correspond à celui de ministre. En effet, c’est le Résident Général qui nomme ses directeurs/ministres, pour appliquer à la lettre, ses instructions …
- Le parcours du combattant pour tous les marocains, qui osèrent présenter des demandes d’ouverture d’écoles libres …
- Les titres requis !!!
- C’est clair comme l’eau de roche …
- Suite 2
- Suite 3 du cauchemar !
- Lettre à Monsieur l’ambassadeur résident général de France au Maroc, Rabat. – Des documents authentiques (mis à part les beaux discours de la Résidence) qui illustrent parfaitement, le calvaire des nationalistes, résolument décidés à promouvoir, l’enseignement au sein de la population marocaine …
- Suite
- Suite.
- A Monsieur le Contrôleur civil chef du … territoire de Mazagan.
- A Monsieur le Contrôleur civil du … territoire de Mazagan.
- A Monsieur le Chef du … territoire et contrôleur civil de Mazagan.
- Le Résident monte au créneau !
- L’une des nombreuses entraves, dont la Résidence avait le secret : Le directeur de l’école musulmane semble ignorer la pénurie de matériel des PTT … Il faut juste le rassurer !
- Incroyable mais vrai !
- Ne jamais perdre espoir avec ces gens là !
- Ce document résume, pour ceux qui poursuivent leur croisade « d’information » et de « formation » une preuve irréfutable de la situation du Maroc et des Marocains !
- Dar El Baida, après son bombardement en août 1907. Seuls, les quartiers d’habitation des « indigènes » ont été visés !
- Quartier Bourgogne : Un des nombreux quartiers de la ville européenne.
- La première villa du type colonial construite à Casablanca par le richissime allemand Karl Fick. Elle se trouve en face de l’immeuble dit Liberté dont l’architecte est de nationalité américaine !
- Si Ababou, le chambellan – Hajib – de S.M. le Sultan Moulay Youssef. Le Hajib de S.M. donnera son nom au premier quartier de Derb Sultan, les enfants du pays connaissent surtout le jamaa – mosquée de Si Ababou !
- Architectures en Afrique du nord : Maroc, Algérie et Tunisie, à l’exception de l’ex zone nord sous protectorat Espagnol, de Tanger, zone internationale et des villes occupées Melilla et Sebta.
- Aero-habitat-Alger.
- Tunisie : La cathédrale de Bizerte en 1954.
- Agences immobilières des années 1940 – 1950
- Les plus beaux lotissements.
- Incroyable mais vrai : Il fallait les sanglants évènements de décembre 1952 et la riposte de la résistance à l’exil du Sultan légitime Sidi Mohammed Ben Youssef par le Résident en 1953, pour qu’ils s’intéressent aux nombreux bidonvilles de la ville de Casablanca ! Ces opérations de constructions de logements, feront l’objet de la part de la Résidence d’un tintamarre unique dans les annales de la propagande coloniale !
- Architectures en Afrique du nord.
- Architectures en Afrique du nord.
- Architecture en Afrique du nord.
- Architecture en Afrique du nord.
- Architecture en Afrique du nord.
- Architecture en Afrique du nord.
- La villa El Mokri à Casablanca.
- Les entretiens franco-marocains ont débutés le 23 août 1955 à Aix-les-Bains en présence, de gauche à droite, de Robert Schuman, Thami El Mokri, fils du grand Vizir El Mokri, Pierre July et du président français de l’époque Edgar Faure.
- De gauche à droite Ben Arafa, placé comme « sultan » par le Résident Général Guillaume au centre. A droite El Mokri.
- Après sa nomination au poste d’Ambassadeur de France, le Résident général Noguès, entouré de Si Mokri et Si Benghabrit, rend visite à S.M. le Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef.
- Si Mokri, ambassadeur du Sultan Moulay Hafid à Paris.
- Après le départ du Maréchal Lyautey, il sera remplacé par l’ex Gouverneur d’Algérie, qui sera lui-même remplacé par l’ex Résident Général auprès du Bey de Tunisie. Cette image nous montre l’arrivée au port de Casablanca, du nouveau Résident Général, Mr Lucien Saint, ambassadeur de France, au port de Casablanca.
- La première guerre mondiale, une belle affiche : Le 2° Emprunt de la Défense Nationale
- La première guerre mondiale : Au Café de la Paix.
- Servir … de père en fils !
- Effets des tirs sur les Remparts en 1907 !
- Photo d’un des panneaux du socle de la statue du Maréchal Lyautey, elle représente ce dernier (1912-1925) qui donne l’accolade au Grand Vizir Si Mokri, lors de son départ définitif du Maroc. Cette image donnera lieu à des interprétations volontairement erronées, dont l’objectif est de faire croire, qu’il s’agit du Sultan Moulay Youssef …
- 1912 : Le Résident Général Lyautey épingle la légion d’honneur. sur la poitrine du pacha Glaoui !
- Des Tirailleurs Maghrébins …
- La situation politique en Chaouia, après le bombardement de la ville de Casablanca en août 1907.
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- Tous les moyens de propagande on t été épuisés par les « spécialistes » à travers les … cartes postales. Cet homme menotté n’est pas un bandit, ni coupeur de grand chemin et encore moins un fanatique. C’est tout simplement un résistant !
- Du 5 au 7 août 1907 : La ville de Casablanca à la portée de canons des navires de guerre !
- Le fameux Galilée !
- Le minaret de la mosquée Oueld El Hamra, touché par des obus « perdus » !
- Visite des caïds du sud à Mr Malpertuy, consul général de France. Plus tard, tous ces « grands » caïds seront décorés de la légion d’honneur.
- La légendaire rivalité à propos du … Maroc entre la France et l’Allemagne, devrait (en principe) faire l’objet d’une attention particulière, en dépit du « verrou » imposé de part et d’autre … Photo, le chancelier Just, du consulat d’Allemagne à Casablanca.
- Le pacha de la ville de Casablanca Si Tayeb El Mokri, fils du grand Vizir Mokri.
- Haj Mohamed El Mokri, père du pacha de la ville de Casablanca.
- Le pacha.
- Si Tayeb El Mokri, assiste à la distribution des prix à l’école des fils de notables de Casablanca, en présence des autorités françaises.
- Le brave Si Tayeb El Mokri, pacha de la ville de Casablanca depuis 1927, il sera remplacé par son frère Si Hammad El Mokri.
- Comme il fallait s’y attendre, cette photo nous montre, notre pacha pris en étau et entrainé dans l’engrenage du système du protectorat, entre le fameux Boniface, contrôleur civil et le Général de Langlade, commandant la place de Casablanca. Le premier nommé avait son bureau aux services municipaux, l’actuelle Wilaya, le deuxième dans l’actuelle Agence urbaine, et le Général dans l’actuel Consulat de France.
- Après l’exil du Sultan légitime Sidi Mohammed Ben Youssef -Mohammed V- le 20 août 1953 par le Résident Général Guiillaume, les résistants de la ville de Casablanca sont passé à l’action, pour relever le défi des ultras. Si Tayeb El Mokri sera sollicité pour s’exprimer au nom de la population marocaine, qui soutien ‘d’après lui) la politique de la Résidence !
- Le journal Es Saada.
- 1 – Es Saada.
- 2 – Es Saada.
- 3 – Es Saada.
- 4 – Es Saada.
- Ahurissant ! Les « personnalités marocaines de Casablanca venus « témoigner de l’attachement de la population marocaine de Casablanca envers … » ?
- 1955 : Le système de gestion prôné par le Résident Général Guillaume et ses « collaborateurs » est à bout de souffle. Le gouvernement Français vient de prendre conscience de la situation intenable des marocains et de la nécessité de trouver une solution au traquenard tendu par les ultras. C’est le nouveau Résident Général Lacoste, qui est chargé de mettre en musique, la toute nouvelle politique « d’ouverture » vers le « Marocains ». Le pacha Hammad El Mokri est chargé de l’accueil ! En effet, nous ne sommes plus soumis au couvre-feux, qui était imposé aux seuls quartiers des marocains dits quartiers arabes et où indigènes, les barrières de fils barbelés ont été « allégés » et les gens du pays, pouvaient crier leur attachement au Sultan légitime Sidi Mohammed Ben Youssef.
- A propos du pacha Si Tayeb El Mokri : En 1949, la commission municipale de la ville (composée d’une majorité de personnes étrangères, suivi des marocains musulmans et israélites, tous désignés par le Résident Général. décide de perpétuer la mémoire de Son Excellence Si Tayeb El Mokri en donnant son nom à l’Avenue de l’Hippodrome. Après l’inauguration de la plaque par les « officiels » un groupe d’ultras, badigeonnera avec de la peinture noire la dite plaque. A l’époque, il était inconcevable de donner le nom d’une personnalité marocaine à l’une des artères de la ville européenne ! Après l’indépendance du Maroc, la nouvelle commission municipale élue démocratiquement, procèdera au remplacement du nom de Si Mokri par celui du résistant Abdellatif Ben Kaddour.
- Le fondateur de la ville de Casablanca, le Sultan Sidi Mohammed Ben Abdellah.
- Plaque commemorative relative à l’inauguration par le Sultan Sidi Mohammed Ben Abdellah, de la mosquée de Dar El Makhzen en 1201 de l’hégire.
- Sous le regne du Sultan Sidi Mohammed Ben Abdellah : Ecusson de la fin des travaux de la Seqala, portant la date de 1203 de l’hégire.
- Les barcasses et les barcassiers … Ce sont eux qui assurèrent en 1432 le transport des volontaires d’Anfa, qui participèrent, sous les Mérinides à la bataille de Rio Salado en Espagne. Leur tenue vestimentaire, le chant et la cérémonie du Mouloud … font partie du patrimoine immatériel de Casablanca !
- La tradition maritime d’Anfa, depuis les Berghouatas, en passant par les Mérinides, donnera lieu au chant particulier connu sous le nom de la Aïta Mersaouiya (relative au ports marocains de la cote atlantique) Cette formation Casablancaise de la Aïta, représentera la ville de Casablanca lors du festival de la musique qui s’est déroulé à Fès dans les années 1930 !
- Le riche et volumineux répertoire de la Tbourida, connue des étrangers sous le nom de « fantasia » fait partie du patrimoine immatériel de Casablanca. Cette image de la fin du XIX° s. représente les meilleurs cavaliers de la Chaouia, qui se préparent pour exécuter les plus beaux « tableaux » sous les remparts plus que millénaire de la ville d’Anfa !
- Une des plus belles formations de la musique d’El Aïta, avec Radia au violon. Contrairement aux idées reçues sur cette forme d’expression (chant, danse) elle fait partie des formes traditionnelles du Maroc et de la péninsule ibérique, le fado et le flamenco !
- Frites.
- Flamenco.
- Le Fado.
- Kibbou dit le maréchal : Un des meilleurs violonistes d’El Aïta, il formait avec Bouchaïb Bidaoui, célèbre interprète d’El Marsaoui, un des duos, les plus célèbres de Casablanca. Dans l’encadré rouge, on distingue les mains d’une des chikhates, tenant entre ses doits des castagnettes métalliques …
- Tbourida !
- Le Monde vers 1623.
- La ville de Casablanca, lieu de rencontre des artistes animateurs des halkas. Cette image prise au Derb Grégoire, dans les années 1947, représente une scène du jeu des bâtons, exécuté par des personnes d’un certain âge.
- La Cathédrale de Casablanca.
- Les personnes arrêtées le 8 décembre 1952, ont été transportées de la prison civile de Ghbeyla par autobus, au tribunal du pacha au Habous. N.B La prison civile, connue sous le nom de Ghbeyla est située en Nouvelle Médina à proximité des casernes militaires, cette prison devait (normalement) faire partie des « monuments » classés de la ville de Casablanca ! Ce haut lieu de mémoire constitue un patrimoine d’une richesse inestimable. Faut-il rappeler, que tous les fidèles de la cause nationale sont passer par là !
- Une troupe de musiciens du Souss qui faisait le tour des principales villes du pays, Casablanca constituait le point d’orgue de cet intermède culturel.
- Le pavillon du Maroc à l’exposition de Paris en 1900.
- Melilla : le future Général Franco.
- Tunis : Le Cardinal Lavigerie.
- Meknès : Le Général Poeymirau.
- Sebta : Monument de la bataille de Tétouan en 1860.
- Espagne : Statue relative à la bataille de Tétouan en 1860.
- Constantine : Le Général Lamoricière.
- Alger : Jeanne d’Arc.
- Casablanca : Le Maréchal Lyautey.
- Alger : Le Duc d’Orléans.
- Casablanca : Le Général Leclerc.
- 1930 : Le buste de John Dal Piaz sera inauguré au centre du Bd du 4ème Zouaves, à quelques encablures du sanctuaire du patron de la ville Sidi Beliout. On aperçoit au fond l’horloge de la place de France. La ville européenne à été dotée de tous les attributs d’une ville étrangère, en terme de monuments, statues, buste, plaque et stèles commémoratives …
- Le monument aux morts du 1° Zouave, dans la caserne Heude de Casablanca.
- On l’a échapper belle : Le fameux Mussolini en visite à Tripoli. Une souscription à été lancée pour recueillir des dons, destinés à l’érection d’une statue équestre au Duce !!!
- La ville de Casablanca, prise dans un infernal tourbillon de falsification de son histoire et de sa … mémoire !
- Le 20 août 1953 : Les agents du Résident Général Guillaume, conduisent le Sultan légitime vers l’exil.
- La plus grande supercherie de tous les temps : Le Résident Général Guillaume, se fait inviter dans les règles de l’art … chez le nommé Ben Arafa qu’il avait placé, en remplacement du Sultan légitime Sidi Mohammed Ben Youssef.
- La ville de Casablanca constituait une cible privilégiée pour rependre la propagande coloniale. Nous sommes en 1941, le photographe se place derrière la statue du Maréchal Lyautey, pour saisir cette image … historique. Sur le toit du tribunal de juridiction Française, flotte le drapeau tricolore, sous lequel « trône » le portrait du Maréchal Pétain, champion incontesté de la devise « Travail – Famille – Patrie » Un slogan de propagande de plus dont les gens du pays, faisaient les frais !
- Brahim Roudani, un grand résistant.
- Le nouveau Résident Général Théodore Steeg, accompagné du Maréchal Pétain au débarcadère de Casablanca en novembre 1925 … Une page que les « spécialistes » attitrés passent sous silence, elle ne correspond pas aux objectifs limités aux ennuyeuses et sempiternelles « louanges » du protectorat !
- La bataille de Oued El Makhazine : Ce monument commémoratif constitue le symbole de la propagande coloniale dans toutes ses dimensions : Erigé en terre marocaine, par les soins du régime portugais du dictateur Salazar avec la bénédiction du Protectorat Espagnol sous le régime d’un autre dictateur le Général Franco. Le système colonial, tant en zone Espagnole qu’en zone Française, avait pris toutes ses dispositions pour maintenir le « statuquo » à travers « ses » symboles de pacotille !
- Le balcon à été introduit dans les villes européennes du Maroc par les architectes étrangers. C’est un lieu d’observation et de détente !
- A partir de 1912, la construction des immeubles de la ville européenne, donnera lieu à la reconstitution fidèle des repères de la vie courante et des formes artistiques, propres aux pays d’origine des « promoteurs » particuliers. Pour la partie relative à la construction des batiments publics, le copier-coller, de l’expérience coloniale algérienne et Tunisienne, depuis 1863, sera exploité à fond pour des raisons d’unicité et d’harmonie coloniale. Il sera présenté au « grand » public comme une expérience et réalisation architecturale « unique » ! Difficile d’arrêter le progrès …
- La culture, l’histoire et le patrimoine immatériel, constituent le seul et unique repère, qui donnera naissance au patrimoine matériel… Il y a une différence fondamentale entre l’héritage colonial (Lixus, Volubilis, Tamuda …) et le reste !
- M. Eugène – Etienne, un personnage clé dans l’histoire du protectorat, tous ceux qui se sont « intéressés » à cette histoire, ont eu l’élégance d’ignorer superbement le rôle capital, joué par ce personnage. La carte postale ci-dessus est légendée comme suit « Oran Souvenir des fêtes du vingt cinquième anniversaire du mandat de député de M. Eugène – Etienne » Parmi les personnalités en médaillon, qui entourent le chef, nous relevons la présence du Gouverneur Général, de députés, du président du Conseil Général et … du Général Lyautey, commandant de la région militaire d’Ain Sefra en Oranie …
- 1930 : Le jeune Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef en visite officielle en France, accompagné de M.M. El Mokri et Ben ghabrit.
- Le Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef et le prince héritier Moulay Hassan.
- Le Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef, entouré des princes et des princesses.
- Sous le protectorat, toutes les publications étaient consacrées aux Résidents Généraux et aux réalisations du protectorat, il fallait attendre l’indépendance du Maroc, pour que les marocains puissent s’exprimer librement. Le premier livre consacré au Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef à été publié par Mohamed Rachid Mouline en mars 1956, il portait le titre de -Nidal Malik – Al Ma3raka min ajli Al Istiqlal – C’est un évènement hautement historique pour ceux et celles qui ont été privés de liberté, durant la période de protectorat.
- Le Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef, qui va soutenir le combat de libération de la France, qui s’opposera au régime de Vichy, sera envoyé avec sa famille en exil le 20 août 1953 en Corse et par la suite à Madagascar.
- La première page du livre – Nidal Malik – est consacrée à la photo de S.M. le roi Mohammed V. La mention manuscrite de Sa Majesté est datée du 24 mars 1956, vingt et un jour après la déclaration de l’indépendance du pays !
- L’auteur Mohamed Rachid Mouline, c’est lui qui va ouvrir la voie aux jeunes marocains, privés de liberté sous le protectorat de s’exprimer sur l’histoire de leur pays !
- Le deuxième tome « Nidal Malik » Sidi Mohammed Al Khamis – Attad7iya bi al arch fi sabil al Istiqlal.
- 1903 : Conférence de M. Eugène Etienne.
- 1903 : Conférence de M. Eugène Etienne.
- 1903 : Conférence de M. Eugène Etienne.
- 1903 : Conférence de M. Eugène Etienne.
- 1903 : Conférence de M. Eugène Etienne.
- 1903 : A Ain Sefra dans la Département de l’Oranaie en Algérie, Lyautey qui sera bientôt nommé général.
- Sa Majesté le Roi Mohammed V, felicite l’auteur lors de la parution du deuxième tome de Nidal Malik – Sidi Mohammed Al 5amis.
- M. Eugène Etienne, né à Oran, dans le Département de l’Oranaie frontalier avec le Maroc !
- Réhabilitation et préservation du patrimoine de l’Ancienne Médina de Casablanca.
- Dans le cadre des travaux de réhabilitation et de préservation du patrimoine, engagés par le Ministère des Habous et des Affaires Islamiques, en collaboration avec l’Inspection des Monuments Historiques de la ville, une importante découverte vient de voir le jour, au Jamaa Oueld El Hamra, en Ancienne Médina de Casablanca. Ci-dessous le plan de la ville d’Anfa dans « Les Cités du Monde » dont les planches ont été publiées dans l’édition de 1572 du Civitates Obris Terrarum. Ce n’est pas le fait du hasard si la ville d’Anfa figurait parmi les cent villes du monde … Les neuf lieux de culte situés à l’intérieur de la muraille, témoignent du prestigieux passé de la ville d’Anfa, relevée de ses ruines par le bâtisseur et grand Sultan Sidi Mohammed Ben Abdellah – Mohammed III – qui lui donnera le nom de DAR EL BAIDA. Avec cette découverte, la blancheur d’Anfa éclate au grand jour pour redonner à l’histoire, la mémoire et le patrimoine de Casablanca, la place qu’elle mérite… C’est grâce à S.M. Mohammed VI que les travaux de réhabilitation de l’Ancienne Médina ont été lancés, la deuxième tranche de ces travaux est en cours.
- S.M. Mohammed VI se fait présenter par le gouverneur de l’Agence urbaine, le projet de réhabilitation et préservation du patrimoine de l’Ancienne Médina.
- Le Maréchal Lyautey.
- Le Maréchal Lyautey.
- Le Maréchal Lyautey.
- Le Maréchal Lyautey.
- Le Maréchal Lyautey.
- L’ex Mausolée du Maréchal Lyautey à Rabat.
- L’ex Mausolée du Maréchal Lyautey, vu de l’intérieur.
- Au cœur de l’Atlas – mission au Maroc 1904-1905. Marquis de Segonzac. Préfaces de M. Eugène Etienne et le Maréchal Lyautey.
- La préface du Maréchal Lyautey où il évoque son « patron » M. Etienne …
- Mitoyenne du sanctuaire de Sidi Beliout, la prison d’Anfa dite prison portugaise du XVI° s. sera démolie sous le protectorat, les arcades seront « placés » de leur lieu d’origine, en Ancienne Médina, au parc Lyautey.
- La porte d’entrée qui donnait accès à la prison d’Anfa et aux dépendances réservées aux nécessiteux de passage en terre de la Chaouia. C’est le Sultan alaouite Moulay Abdelaziz, qui instaura par dahir, la prise en charge des frais par l’Amin du port de Dar El Baida !
- Les arcades de la prison d’Anfa, au parc de la ligue arabe.
- A la suite d’un acte de vandalisme, la plaque commémorative, fixée au mur des arcades de la prison d’Anfa à été dans un deuxième temps enlevée …
- Sous le protectorat, des administrations publiques de la ville européenne, ont été généreusement « dotés » de motifs réalisés par des décorateurs, qui ont eu auparavant, l’occasion d’exercer leur talents, dans les colonies avant l’instauration du régime de protectorat au Maroc …
- Les caricaturistes étrangers n’avaient d’yeux, que pour les gens du pays … De splendides vues de la ville européenne …
- Il n’est pas exclu qu’un jour ou l’autre, on nous fera croire que cette lettre du Maréchal, était destinée aux jeunes Marocains …
- La Iglesia Espanola de San Buenaventura de Casablanca.
- St John’s Church de Casablanca.
- Stèle militaire commémorative, implantée dans l’ex jardin de la subdivision en face de la poste principale de la place Mohammed V.
- Plaque militaire commémorative et cadran solaire portant l’inscription suivante : Camp de Sidi Slimane.
- La stèle commémorative, lors de son inauguration par les autorités militaires de l’époque.
- La stèle militaire commémorative dans le jardin de la subdivision.
- Photo A. Naguib : Au premier plan la statue militaire commémorative, au fond la poste principale.
- Photo A. Naguib : Une autre stèle abandonnée au bord de l’ancienne route de Marrakech, à Merchich, tombée dans l’oubli depuis des décennies. Il s’agit d’un monument commémoratif, dont l’inauguration sous le protectorat avait fait grand bruit. Il commémore la bataille qui opposa les résistants de la Chaouia aux soldats étrangers, commandés par le Général d’Amade en janvier 1908.
- Situé au parc de la ligue arabe ex parc Lyautey : Monument à la mémoire du Père Charles de Foucauld, déguisé en commerçant juif, il sillonnera le Maroc de long en large, pour recueillir des informations de la plus haute importance, ces informations, constitueront l’élément de base, pour « conquérir » le Maroc !
- l’Officier Charles de Foucauld, qui consacrera toute sa vie, au service de son pays.
- C’est le Résident Général, le Maréchal Lyautey, qui présida la cérémonie d’inauguration de ce monument, au parc Lyautey (parc de la ligue arabe) en présence des habitants de la ville européenne. Texte de la plaque » A LA MEMOIRE DE CHARLES DE FOUCAULD EXPLORATEUR DU MAROC EN 1883-1884 OFFICIER EXPLORATEUR PRETRE APOTRE DU SAHARA MORT POUR LA FRANCE A TAMANRASSET (HOGGAR) LE 1° DECEMBRE 1916 «
- Rue Moussa Ibn Noussair : Une des nombreuses façades des immeubles de la ville européenne de Casablanca.
- 1950 : Une des nombreuses publicités murale de la ville européenne de Casablanca. Au fond l’immeuble liberté.
- Le choix des motifs et décorations de certaines façades, de la ville européenne, obéissent aux « normes » et « traditions » expérimentées à partit du XIX ° s. en Afrique du Nord. A noter que la plupart des promoteurs immobiliers ont émigrés à partir de 1912 vers le Maroc.
- Rabindranath TAGORE.
- Place Mohammed V ex Place Lyautey à Casablanca : L’ancienne plaque commémorative du débarquement du mois d’Août 1907, déplacée après l’indépendance du Maroc.
- Rue du caporal Corras.
- Rue Maréchal Fayolle.
- Rue soldat Jean Pierre Favre.
- Rue Caporal Henri Ohayon.
- Rue Caporal Grébert.
- Rue du soldat Roch.
- Rue Lieutenant Bergé.
- Boulevard Maréchal Joffre.
- Boulevard Gallieni.
- Rue Sergent Pierre Pollier.
- Le grand Sultan Moulay Ismael.
- liste N° 1
- liste N° 2
- (3) liste N° 4
- liste N° 5
- liste N° 6
- liste N° 7
- liste N° 8
- liste N° 9
- liste N° 10
- liste N° 11
- liste N° 12
- liste N° 13
- liste N° 14
- Les nouvelles dénominations tant attendues par la population de la ville de Casablanca.
- Plaque au nom du père Charles de Foucauld, au centre de la ville européenne de Casablanca, à l’angle du Boulevard Mohammed V ex Bd de la Gare. Au dessus de la plaque une description détaillée de l’Officier-Exploiteur-Prêtre-Apôtre- du Sahara …
- Les nouvelles dénominations tant attendues par la population de la ville de Casablanca.
- Les nouvelles dénominations tant attendues par la population de la ville de Casablanca.
- 01
- Fulcrand, le spécialiste du « zellij » de la plupart des batiments de la place Mohammed V ex place Lyautey.
- Le hall du Conservatoire municipal de musique, de chant, de déclamation et de danse, au Bd de Paris. Ce bâtiment historique, accueillera respectivement, le tribunal militaire, les services municipaux et le Conservatoire actuel.
- L’ex tribunal de juridiction française.
- Des motifs « fignolés » pour les adapter et leur donner une couleur locale.
- La façade de la poste principale.
- La façade de la poste principale, elle porte les mentions suivantes en arabe : Télégraphe, Poste et Téléphone. Les motifs de cette façade, répondent aux besoins factices de la « couleur locale » et non aucun rapport avec le zellij traditionnel marocain.
- Attiligraf
- wal’barid
- attilifoon.
- On reconnait (facilement) à travers ces motifs, la touche des ateliers modernes de notre ami Fulcrand …
- Et de deux !
- La première plaque au nom de Mohammed V, qui remplaça celle du Bd de la Gare.
- 16
- Le zellij de la façade du tribunal.
- L’une des rares traces de zellij, adaptée au quartier indigène, à été placée par les architectes au bousbir, en nouvelle médina !
- Le gouvernement marocain sous le règne du Sultan Moulay Hafid.
- Il fallait obtenir des « garanties » pour la sécurité de ceux des marocains, qui protégèrent l’opération dite de « pacification » !
- Document faisant partie de ma collection personnelle. La mention manuscrite du Résident Général Juin se passe de tous commentaires » Aux Officiers de la Garnison de Casablanca avec mon souvenir affectueux et fidèle Rabat le 7 Avril 1948 » Il s’agit, cyniquement (jour pour jour) du premier anniversaire de la sanglante répression du 7 avril 1947.
- Juste pour ne pas … perdre la mémoire. La vigie marocaine – Les événements de Derb El Kabir en Nouvelle Médina – Derb Sultan. Provoqués par le fameux Boniface Chef de la Région civile de Casablanca et ses acolytes, pour entraver le voyage à Tanger, de S.M. le Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef.
- Principaux collaborateurs du premier Résident, le Général Juin Résident Général, retrouve avant son départ définitif du Maroc, son ami et complice, le fameux Boniface, chef de la Région civile de Casablanca. Les habitants de la ville européenne réserveront un accueil des plus chaleureux.
- Le Sultan Moulay Hafid en compagnie du Marquis de Segonzac, de Benghabrit et Mokri.
- Mission Gentil et de Segonzac : l’Outillage du parfait : amateur, professionnel, amoureux, aventurier, touriste, colporteur, chercheur etc.
- A Casablanca-El Hank : l’équipe de nos amis de la mission Gentil – de Segonzac.
- Photo de la cote rocheuse d’El-Hank, prise en 1901 par l’équipe de nos amis, qui disposait d’un matériel photographique sophistiqué, mis au point pour les besoins de la … Mission !
- Plaque commémorative des sanglants événements du 7 Avril 1947, au fond le minaret de la mosquée de Derb El Kabir où ont été entassées des dizaines de corps mutilés.
- Le texte de la plaque commémorative des sanglants événements du 7 Avril 1947.
- La presse Mas, au service de l’œuvre de « pacification » !
- Deux ex collaborateurs du Résident Lyautey dans les années 1920. A gauche, Boniface, chef de la région civile et organisateur de la tuerie de Derb El Kabir, à droite, le docteur Eyraud ex responsable des services vétérinaires du Maroc, membre du 3° Collège et … maitre à penser de la presse Mas, redoutables machine de propagande anti-marocaine. Ce deux personnalités, constituaient, le fer de lance du système colonial au Maroc.
- Après le massacre de Derb El Kabir, organisé par Monsieur Boniface, chef de la région civile de Casablanca, Monsieur Boniface demandera à une délégation de fonctionnaires marocains … d’être son interprète pour exprimer à la population marocaine de Casablanca, la sympathie du gouvernement qui s’associe à son deuil et lui a demandé de transmettre les condoléances des autorités aux familles des victimes …. il compte sur la sagesse de la population etc. Le cynisme du protectorat n’a pas et n’aura jamais de limites, avant, pendant et après … Comment demander à des fonctionnaires marocains, de transmettre à la population de Derb Sultan-Nouvelle Médina, les condoléances du protectorat, par la voie de l’organisateur de la tuerie !
- Madame Boniface (la pauvre) est chargée de venir au secours de la population marocaine de Derb Sultan-Nouvelle Médina. Ce sont là, des événements qui font partie de la mémoire et du patrimoine immatériel de l’histoire de Casablanca. J’ai suivi pas à pas cette tuerie à travers mon ami de classe Mesbah, qui habitait à quelques mètres de la mosquée de Derb El Kabir.
- Le système colonial avait minutieusement préparé, en date du 7 Avril 1947, le massacre de la population marocaine de Derb Sultan – Nouvelle Médina, pour obliger S.M. Sidi Mohammed Ben Youssef, d’annuler son voyage historique à Tanger.
- Un marchand d’amandes.
- Un des nombreux immeubles de la ville européenne …
- Une des nombreuses caricatures !!!
- La légende : Souvenir de Casablanca … Au verso le commentaire de l’éditeur : Ce que l’on voit du haut de l’Eglise du Sacré-Cœur.
- Le Maroc indépendant en 1909, sous le règne du Sultan Alaouite Moulay Hafid.
- Le Maroc indépendant en 1909, sous le règne du Sultan Alaouite Moulay Hafid.
- Type de plaques de la ville européenne.
- Type de plaques de la ville européenne.
- Un des nombreux exemples de la présence des hommes de l’art au sein de la ville européenne. On retrouve, naturellement, les noms de personnes d’origines différentes, d’où l’intérêt du sujet. Il est évident, qu’il n’y avait aucune chance de trouver le nom d’un marocain, parmi les entrepreneurs et encore moins, parmi les architectes …
- La ville de Casablanca est en bonne position par rapport à ses consœurs africaines.
- A la bonheur : La Nouvelle Médina – Derb Sultan, enfin à l’honneur !
- On marchait presque dessus, dans les sources de notre enfance : Source d’Ain Chouk (Chock), la source portugaise (Koréa-Sraghnas) l’Hermitage …
- Mohammed Zerktouni.
- Brahim Roudani.
- Abdeslam Bennani.
- Ahmed Ben Mohamed Rachidi.
- Plaque commémorative à la mémoire de Ahmed Ben Mohamed Rachidi.
- Les Abattoirs municipaux de la Villette.
- Les Abattoirs municipaux de la Villette.
- Les Abattoirs municipaux de la Villette.
- Une légende, Hmidou Lwatani.
- De gauche à droite : Mansour Ben Mohamed, Belaid Ahmed Addi, Zerktouni Mohammed, Hassan Ben Mokhtar Laraichi.
- A partir de la gauche, Mohamed Bel Hassan Ouazzani du PDI, arrêté par la police coloniale dans les années 1930, pour avoir organisé une manifestation contre le dahir berbère. A droite, Mohamed Ben Larbi Alaoui, dont les causeries à la mosquée Mohammedi au Habous, se déroulaient, dans les années 1950 sous haute surveillance policière.
- L’emplacement des abattoirs municipaux du quartier de la Villette, par rapport aux Carrières Centrales -Hay Mohammadi. Le quartier de la Villette n’avait rien à voir avec les Carrières Centrales, lieu d’habitation des ouvriers du quartier dit industriel, des Roches Noires à Ain Sebaa. Le quartier de la Villette était entouré, des Bd du CEF (Corps Expéditionnaire Français) rue du Consul de France Malpertuy, Colonel Scal, Médecin Major-Ayraud … A l’intérieur du quartier de la Villette : Selier, Laviateur, Astier, Capitaine Theriat, LECRIVAIN, Thermes, Vidal, Lieutenant de Fernaud, Capitaine Bertraudon etc. et au centre le Rond-Point de la Villette.
- Les Abattoirs municipaux de la Villette.
- La propagande orchestrée sous le protectorat à travers les cartes postales, avait justement pour objectif, d’occulter aussi bien la « personnalité » marocaine que ses valeurs. L’équipe du Wydad Athletic Club – WAC, constituera pour l’ensemble de la population marocaine, le symbole de la résistance face à toutes les manœuvres. Cette prestigieuse équipe, représentera honorablement le Maroc sportif !
- L’Histoire de Dar El Baida, appartient aux enfants de cette ville. Cette image nous montre, des basketteurs marocains en compagnie de Haj Larbi Ben Barek … C’est l’équipe du Wydad des années 1930, qui éprouvera les pires difficultés pour pouvoir « jouer » au Basket.
- Juste pour mémoire, dans les années 1940 : Une partie des dirigeants, joueurs et supporters de cette équipe qui avait pour nom El Fath, l’actuel Raja Club Athletic. Outre le coté sportif, le Raja entamera une politique de sensibilisation à travers le mouvement scout …
- Au centre de la ville européenne, un groupe d’officiers américains, se fait photographier, en toute simplicité, en compagnie d’enfants marocains.
- Au lendemain du protectorat, une des rues de Casablanca, portera le nom de cet officier, le Commandant Verlet-Hanus, fait prisonnier à Marrakech par le résistant El Hiba, en compagnie du Lieutenant Harring, de l’adjudant Fiori et du Sous-lieutenant Quadi. Ils seront libérés après la défaite d’El Hiba lors de la bataille de Sidi Bou Otman en 1912.
- Juste après le bombardement d’août 1907, le pacha de la ville de Casablanca Si Boubker Ben Bouzid et le premier casablancais, arrêté en tant que prisonnier de guerre … Une plaque commémorative au nom de ce valeureux pacha, contribuerait à mieux faire connaitre l’histoire de la ville !
- La jeune et talentueuse Touria Chaoui, qui donnera le tournis aux instructeurs de l’école de pilotage de Tit Mellil.
- Les premiers éléments des scouts Hassania, composés des jeunes nationalistes de Rabat, Salé … On reconnait le Dr Abdelkrim Khatib (c’est lui créa la première clinique chirurgicale … Marocaine, au Derb Sultan en … Nouvelle Médina, Naoui etc.
- 1949 : Chargés de la défense exclusive, des intérêts de la ville européenne, partie de la nouvelle commission municipale de Casablanca dont la plupart n’ont jamais mis les pieds, dans un Derb de la Médina, Derb Sultan et où, dans un des bidonvilles, tels celui de Ben Msik ou des Carrières Centrales !!!
- De nombreux Casablancais attendent le passage du Sultan Moulay Youssef, après sa visite des Habous.
- 1949 : Une partie des dirigeants, supporters et joueurs du Raja ex Fath. On reconnait Laachfoubi, Mustapha Oueld Sebaiya (Wydad, qui jouera avec l’O.M de Marseille) Tounsi, les Boualam etc.
- Le zellij des abattoirs municipaux, du quartier de la villette à Casablanca.
- La villa Carl Fick construite en 1913, mitoyenne de l’école Khenata Bent Bekkar, Bd Haj Ammar Riffi.
- En aout 1907 : Les enseignes Ballande et Cosme, le 1° fut blessé en entrant dans Casablanca par Bab El Bahr, connue sous le nom de porte de la marine.
- Hay Mohammedi ex Carrières Centrales, célèbre la présentation du manifeste de l’indépendance le 11 Janvier 1944, sous le règne du Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef.
- Après son retour d’exil, S.M Mohammed V réservera sa première visite à la ville de Casablanca, il annoncera le changement du nom des Carrières Centrales, par celui de Hay Mohammedi, en référence au nom de Sidi Mohammed Ben Youssef. Dans les années 1950, le représentant de la France auprès de l’ONU, qualifia lors d’un débat relatif à la question marocaine, que S.M. Mohammed V, était le Sultan des Carrières Centrales … dont acte !
- Watikat Al Istiqlal du 11 Janvier 1944.
- A travers Si Abdeslam Bennani, l’homme orchestre de l’activité éducative, sportive et de la résistance, le parti de l’Istiqlal, jouera un rôle capital, au niveau de la sensibilisation des nationalistes des Carrières Centrales. Au lendemain de l’indépendance, la première manifestation politique de Derb Carrières Centrales, sera présidée par les ténors de l’Istiqlal de l’époque. Au premier plan, Haj Omar Benabdeljalil, au fond à droite, portant des lunettes noires, Si Abdeslam Bennani. Lors de cette manifestation, un pigeon est venu se poser sur le micro !
- La Résidence Générale, concentrera tous ses efforts vers les Carrières Centrales en terme de propagande, pour contrecarrer l’efficace action des nationalistes des Carrières Centrales. Cette image nous présente une des nombreuses mascarades d’élections des « délégués » dans le cadre d’une « Jamaa ». A gauche de l’image de dos les « animateurs » du fameux Boniface !
- Les Carrières Centrales n’auront leur » projet » de plan d’aménagement , qu’en 1950 !
- Le fameux projet …
- A l’avenir le travail se fera en commun … Merci M. Bonnan !
- La suite du fameux projet de plan d’aménagement …
- Vue aérienne des Carrières Centrales – Hay Mohammedi.
- Le plus cocasse dans cette affaire, c’est « l’entrain » de la propagande du protectorat, à « étudier » la « physionomie » des bidonvilles, de … Papouasie peut-être ! Ces « études » n’ont jamais concernées les projets de construction de l’Office Chérifien de logements pour le personnel européen des mêmes entreprises !
- Vue aérienne d’une partie des Carrières Ben Msik.
- Sous couvert d’une innocente méconnaissance des véritables des problèmes, qui ont été à l’origine de la création des bidons villes, les « spécialistes » vont nous gratifier, de statistiques et prospectives, à l’évidence destinées à noyer le poisson !
- Des discours creux, qui auront pour FINALITE de leguer aux responsables marocains, un cadeau empoisonné …
- Une véritable école de nationalisme et de résistance aux manœuvres du protectorat : La ligue libre de football, dont Si Abdeslam Bennani était l’un des fondateurs et un des plus illustres dirigeants, va créer dans chaque quartier d’habitation des marocains, une équipe de football, celle de Derb Carrières Centrales avait pour nom Al Ittihad – l’Union. Le recrutement des joueurs passait par l’amour de la patrie. Cette image nous montre l’équipe du TAS, entourée de trois supporters de Derb Sultan, à partir de la gauche Ben Said et Si Ahmed et à droite portant le tarbouch, le fameux gardien Sebbata. A l’instar des autres équipes de quartier, l’Ittihad, effectuera, dans le cadre de la consolidation des liens entre les Marocains des différentes régions, des déplacements à Tanger et d’autres villes de la zone sud. N.B Le nom choisi par chacune des équipes sportives à Casablanca, avait une profonde signification pour la jeunesse de l’époque. De mémoire, je cite Nadi Chaab, Al Majd, Abdelmoumen, Al Fath (futur Raja), Al Hayat, Annajm Soussi, Al Maghrib, Al Falah, Al Mansour etc.
- Les « spécialistes » des études, statistiques et autres travaux de … recherche, n’avaient d’yeux que pour le personnel marocain et en particulier les habitants des Carrières Centrales. Pourtant à Casablanca, des dizaines de milliers de personnes, autres que marocaines, remplissaient des fonctions susceptibles de faire l’objet d’études, statistiques et autres travaux de recherche … Circulez !
- Les façades des maisons constituait un lieu privilégié, pour exprimer avec fierté son appartenance à la communauté marocaine !
- 2 ème Tirailleurs.
- A zidou lguouddam.
- Ecusson des spahis marocains : nasroun min allah.
- Le premier drapeau à partir de la droite, porte en arabe et en français : Sans peur – Sans pitié.
- Le 2° escadron des Spahis marocains.
- Alhamdou lillah.
- Tanger : Calle Italia, immeuble construit au début du siècle dernier, il y avait le Café « La Gabriella » l’International Pharmacy, le Café « Las Estrellas », « El Metro », Maudy Ambrozio, Farmacia de Francia, Casa Masanuos, Ciné Alcazar, Almacenes « Paris-Tetuan », Casa Ortega, Calzados Monterrey, Ciné Capitol, Café Colon, Café Excelsior, Chat botté…
- Tétouan.
- Tétouan.
- Tétouan.
- Casablanca.
- Larache.
- Tanger.
- Ville de Casablanca – Services Municipaux.
- Les armoiries de l’ex Consulat d’Angleterre au Bd d’Anfa.
- Melilla.
- Sebta.
- Melilla.
- Sebta.
- Tétouan.
- Casablanca.
- Marrakech.
- Casablanca.
- Armoiries de … Casablanca au parc de la ligue arabe ex parc Lyautey, en face des arcades de la prison d’Anfa du XVI° siècle dite portugaise. Une des nombreuses tentatives de falsification de l’authenticité de la ville de Casablanca.
- Ville européenne.
- Ville européenne.
- Ville européenne.
- l’Opéra Comique – Théâtre Municipal, dans sa version définitive (tout en bois) avant sa démolition et son remplacement par le fameux théâtre provisoire dit municipal, couvert de … tôles ondulées !
- Archives de la troupe Casablancaise de feu Chouaib Rachad, scène de la pièce qui avait pour titre » Ouverture de l’Andalousie » présentée en … 1942.
- L’Eglise d’Acila.
- Tanger.
- Casablanca en … 1962 : Liste des architectes !
- Tanger.
- Carte postale datée du 23 Mai 1909, adressée par un soldat à ses parents en France, pour leur donner de ses nouvelles.
- La deuxième moitié de la carte postale.
- Le professeur Numbus, vedette de la presse Mas, dite Casablancaise.
- A Rabat : Le Centenaire de Napoléon et Fêtes de Jeanne d’Arc.
- Une vue sur la ville indigène, (Benslimane). Dans les années 1940, le régime de Vichy installera « ses » camps de « jeunesse » à … Camp Boulhaut, devenu le fief des vichyste et très cher aux cœurs des nostalgiques du protectorat !
- Nous assistons, dans de nombreux domaines, à des manœuvres qui frisent l’ingérence, dans des « secteurs » qui relèvent naturellement, de la compétence des gens du pays. La légende de cette carte postale est totalement fausse.
- La gratuité de ce type de légende ne laisse planer aucun doute, sur les véritables intentions des dirigeants de l’époque. Les légendes des façades de la ville européenne ont une allure beaucoup plus « civilisées » et empruntent de respect, fort mérité par ailleurs, envers les habitants de la ville européenne !
- Association Casablancaise des Bouquinistes.
- Association Casablancaise des Bouquinistes.
- Association Casablancaise des Bouquinistes.
- Association Casablancaise des Bouquinistes.
- Les noms des architectes Cadet et Brion accompagnaient la majorité des légendes des cartes postales, relatives aux quartiers des Habous et Bousbir, dont ils étaient les « réalisateurs ». Des deux quartiers, seul celui de Bousbir à été classé … Cette carte postale et ou photo de famille, réunie de nombreuses personnes dont notamment, trois enfants cireurs de leur état. Dérrière le « salon coiffeur » se trouvait, le cinéma pour « adultes » !
- El Jadida ex Mazagan.
- Esquisse pour la Grande Place, novembre 1914, Henri Prost. Grande place ; Espace dégagé entouré de monuments, à l’instar des places dans les villes européennes.
- Au premier plan, le siège de l’Automobile Club Marocain, parmi les membres de ce … club, il n’y avait et ne pouvait pas y avoir de membres marocains (hormis les pachas Tazi et Glaoui et un grand caïd), la partie entourée représente les baraques de l’école européenne. Tous les batiments avaient un usage précis, servir les intérêts des habitants de la ville européenne : Poste, Tribunal, Services Municipaux …
- Une des sources de Derb Sultan. Derrière ces lavandières (Bénat Chaouia-Les Filles de la Chaouia) les restes d’une des anciennes constructions portugaises.
- La légende de cette « carte postale » – Casablanca – Le Palais de Justice (le coin des mamans). Il s’agit en fait d’un montage, réalisé pour les besoins de la propagande de l’époque, comme on peut le constater, le jardin (coin) de la place Lyautey à été transformé, pour les besoins de la cause, en … Studio ! La partie entourée, représente les figurants : personnages marocains en discussions animée devant le « palais de justice » de juridiction Française, des mamans européennes se tiennent tranquillement devant leurs poussettes. A gauche, un mendiant, assis en tailleur, au fond l’inévitable et fidèle compagnon des cartes postales le « bourricot de service » …
- La source Portugaise de Derb Sultan !
- La source portugaise de Derb Sultan !
- Les lavandières de chez nous !
- Cette carte postale illustre l’état d’esprit des photographes de la ville européenne, le « bourricot de service » exerçait sur eux, une fascination irrésistible !
- Une des pages de l’histoire de la ville européenne, le Centro … le Théâtre Municipal etc.
- Un des aspects du riche programme d’animation de la ville européenne. Lors du bal des Blindés, l’assistance des anciens, formulera sa demande d’érection de la statue pédestre du Général Leclerc, qui sera inaugurée au centre du parc Lyautey.
- Le patrimoine de Derb Sultan, en Nouvelle Médina : Lire Oued Koréa – Place des Sraghnas …
- Le patrimoine de Derb Sultan, en Nouvelle Médina : Lire Oued Koréa – Place des Sraghnas …
- Le patrimoine de Derb Sultan, en Nouvelle Médina : Lire Oued Koréa – Place des Sraghnas …
- Le patrimoine de Derb Sultan, en Nouvelle Médina : Lire Oued Koréa – Place des Sraghnas …
- Pierre Clostermann, un as de l’aviation lors de la deuxième guerre mondiale, qui s’éleva contre la déposition du Sultan légitime Sidi Mohammed Bren Youssef – le Roi Mohammed V – Son domicile avait fait l’objet, de la part des ultras de l’époque, d’un attentat à la bombe en octobre 1954.
- La magie de la photo : Cette carte postale de M. Flandrin, porte la légende suivante – LA PLACE DE FRANCE EN 1888 ( Coté Nord ) . M. Flandrin est né en 1889 …
- Un des miracles de l’époque, c’est de réunir des photos de comparaison de Casablanca (Lire la ville européenne de Casablanca) à partir de 1889 … Date de naissance du photographe M. Flandrin, né avec un appareil photo à la main !
- La légende de cette carte postale » BIDON-VILLE – Village Chleuh près de la ville indigène de Casablanca, entièrement fait avec des bidons à pétrole » Comment se fait-il qu’ils n’ont pas réuni de photos de comparaison de la ville … indigène !
- La ville européenne en fête : Kermesse, soirée artistique au théâtre municipal, danse etc.
- Les communes libres des quartiers de la ville européenne, fleurissaient à vue d’œil, pendant que les « habitants » des quartiers de la périphérie, croupissaient dans l’indifférence générale !
- Souvenirs des années 1950 : Une attention toute particulière de la presse Mas pour les enfants du pays …
- Dans les années 1950, le nombre des établissements concentrés au sein de la ville européenne, était répartis comme suit : 80 Brasseries, 120 Cafés, 80 Bars, 80 Restaurants !
- Souvenirs des années 1950.
- Souvenirs, Souvenirs
- Un des nombreux groupements de la ville européenne de Casablanca, reçoit le ministre des anciens combattants.
- Vue aérienne du parc Lyautey, situé au centre de la ville européenne de Casablanca. Avec la place … Lyautey et ses statues, il constituait le lieu privilégié des manifestations patriotiques …
- Repères – Histoire Occidentale.
- Repères – Histoire Islam.
- Les Omeyyades au Maghreb.
- Les Almoravides se portent au secours de l’Andalousie, pour juguler l’assaut des Francs.
- En 1400
- 1600 : Les Empires de l’Est.
- Une partie du globe terrestre et de ses étoiles !
- Le Bijou Bar du Bd du Général Leclerc, dont le propriétaire avait pour nom Juan Balnes. Les personnes étrangères remplissaient, en général, des tâches en fonction de leur origine et du profil requis. Le regroupement naturel confinera chacun des groupes, dans les différents quartiers de la ville européenne. La plupart des étrangers (autres que Français) obtiendront à leur demande, la nationalité française. L’évolution galopante des statistiques entre les deux guerres, et en partie due à d’importantes mutations, parmi la population de la ville européenne.
- 1) La liste des abonnés du Bd Emile Zola au sein de la ville européenne.
- 2) La liste des abonnées du Bd Emile Zola au sein de la ville européenne.
- 3) La liste des abonnés du Bd Emile Zola au sein de la ville européenne.
- Au départ du Bd Emile Zola, le rond-point Albert 1°.
- Photo A. Naguib ; Statue de Charlemagne, devant le parvis de notre Dame à Paris.
- Statue de Louis XIV, place du musée du Louvre.
- La statue d’Ibn Khaldoun, avenue Habib Bourguiba à Tunis.
- Magnifique monument : A la gloire de la République Française. La ville de Paris 1883.
- Statue pédestre de Louis XIV.
- En 2002 la Grece offre a Alexandrie,la Statue d Alexandre le Grand, Sculptée par l artiste Constantinos Baliou Loghos ,la statue avait été transportée à Alexandrie a board sur un navire de guerre de la marine grecque et elle à été officiellement offerte, durant l inauguration de la Bibliotheque Alexandrina.
- La statue équestre de Marc-Aurèle (161-180)
- Statue équestre de Bartolomeo Colleoni En 1475, Lе chef des compagnies dе mercenaires, Bartolomeo Colleoni, légua unе grande fortune à Venise- Sа condition était qu’une statue dе cavalier à sоn effigie soit construite. Aujourd’hui, lа statue dе bronze créée pаr Verrocchio fait partie dеs plus beaux monuments dе la Renaissance еn Italie.
- La statue de Nelson Mandela à Johannesburg.
- Une caricature de Mohammedia ex Fédala.
- La traversée du pont Blondin : La richesse du pays des Zenata et de sa magnifique région, encouragera l’installation des colons, marins, négociants etc. Cette image nous montre un colon à bord de son attelage, accompagné de son aide étranger.
- Bien avant le protectorat de 1912, le Comité du Maroc, créé par le Comité de l’Afrique Française, fera de son mieux, pour l’octroi des travaux des ports au « groupe » Hersant. Cette image nous montre le Résident Général Lyautey qui accompagne M. Hersant dans sa tournée « du propriétaire » lors d’une manifestation grandiose, organisée à Fédala. C’est le coup d’envoi de la prise de possession d’un projet de construction d’une ville européenne …
- Dans son périple, Manuel Pablo Castellanos, l’auteur de « Historia de Marruecos » en visite à Fédala.
- Digne de confiance, l’homme de l’Eglise, Manuel P. Castellanos est connu pour le sérieux de son travail de recherches sur le Maroc et de son impartialité. La traduction de son œuvre en arabe et en français, rendra de précieux services, aux « Amoureux » de l’histoire du Maroc.
- A Fédala : Inauguration officielle (entre le Casino et le Sphinx) de la plaque commémorative relative au débarquement des troupes US !
- Plaque commémorative, relative à l’Eglise Saint Jacques, édifiée par Jean et Georges Hersent.
- l’Eglise Saint Jacques de Fédala.
- La première école de la ville européenne de Fédala.
- Plaque commémorative (située entre le Casino et le Sphinx de Fédala) du débarquement des troupes américaines à Mohammedi ex Fédala le 8 novembre 1942.
- Le message de Roosevelt, Président des Etats Unis d’Amérique à la population marocaine et étrangère.
- A l’intérieur de l’église de Mohammedia ex Fédala : Plaque commémorative à la mémoire des officiers et marins morts pour la France.
- A l’intérieur de l’église de Mohammedia ex Fédala, cette plaque commémorative, à la mémoire des victimes du chalutier (Poitou) torpillé le 17 décembre 1942.
- La statue de Notre Dame des Roches-Noires, sera transférée à l’intérieur de l’église de Mohammedia ex Fédala.
- A la gloire des citoyens Français.
- Les Etudiants de 1880.
- Austerlitz.
- Le premier Résident Général au Maroc, le Général de division Felipe Alfau Mendoza.
- Le premier Résident Général au Maroc, le Général de division Felipe Alfau Mendoza.
- Pont Blondin … C’est ici que les troupes américaines débarqueront le 8 novembre 1942.
- Les Forces américaines débarquent leur matériel. Au fond la ville de Mohammedia ex Fédala. Comment passer sous silence, un évènement d’une telle importance …
- Les Forces américaines débarquent leur matériel du coté du pont Blondin.
- Un des blindés de la 7ème infanterie américaine, ce dirige cers Casablanca.
- Le Général Patton, au large de Mohammedia, se prépare pour débarquer et prendre la ville. Il s’installera provisoirement dans une villa de la ville européenne de Fédala.
- Dans une villa de la ville européenne de Fédala, le commandement américain recevra le Général Noguès, Résident Général, accompagné de ses principaux collaborateurs.
- Magnifique mariage entre la modernité et le patrimoine patriotique.
- Une des nombreuses statues qui expriment l’attachement des parisiens à leur patrimoine.
- Au panthéon : Vers la gloire. Les écoliers viennent en visites guidées pour découvrir les monuments et œuvres du patrimoine de leur pays.
- Le sacrifice et l’Amour de la Patrie ne s’improvisent pas. Les jeunes écoliers français sont dès leur jeune âge pétris de cet esprit. Au Maroc en général, et à Casablanca en particulier, nous avons suffisamment d’évènements et actes de bravoure qui méritent d’être connus de nos écoliers …
- 1922 : Un groupe des habitants de la ville européenne de Mohammedia ex Fédala.
- Dans les années 1920, la plage et le casino.
- Les services municipaux au centre de la ville européenne.
- Pour donner un reflet de couleur locale, on « invite » un groupe de femmes marocaines pour se placer au premier plan de la photo des PTT !
- Inaugurée sous le protectorat : Le Sphinx de Fédala, ancienne maison close, tenue par le fameux Georges Boucheseiche, l’un des truands impliqués dans l’enlèvement de Mehdi Ben Barka.
- A partir des années 1920, la Compagnie Franco-Marocaine de Fedalah (qui n’avait de marocaine, que le nom) entamera sa campagne de « promotion et de développement » de la ville …
- Carte postale « promotionnelle » de la plage et le casino !
- Vue aérienne des Salines de l’Oued El Maleh (salé) et non Oued El Mellah !
- Le port de Mohammedia.
- Au début de 19O7, le vrai visage de la ville de Mohammedia ex Fédala, au fond la mosquée blanche, une institution e formation connue à travers la région de la Chaouia et des Doukkala.
- 1929, au casino de Fédala, l’Association des étudiants en droit qui regroupait les étudiants étrangers de Casablanca et de sa région.
- Au centre de la photo, les golfeurs de Fédala !
- La principale place de la ville européenne de Fédala.
- Le nouveau caïd de Fédala, entouré du chef des services municipaux et du contrôleur de la Chaouia. On peut globalement considéré, que le Caïd était entre de bonnes mains !
- 1907, juste après l’occupation de la ville de Casablanca, des éléments de l’armée s’installent à Fédala.
- Le transport des voyageurs s’organise, la destination Fédala était très prisée, il y avait les chauffeurs et le … graisseurs !
- Le port en 1920.
- Au casino de Fédala, la belle vie pour les étudiants et sportifs Casablancais !
- Dans les années 1950 : Simple opération de routine pour les habitants de la Kasbah de… Fédala.
- Oued Nefifikh : A partir du XIX° siècle, les « chasseurs » d’image ont été mobilisés pour faire un relevé exhaustif de la région !
- De la verdure au centre de la ville européenne de Fédala.
- Une des nombreuses tentatives des autorités de l’époque, pour « assimiler » la Kasbah à une administration …
- Dans les années 1950 : Opération de triage des ognons par des Feddaliates.
- Le pont qui reliait le port de Mohammedia au sud du pays avait une importance capitale pour le trafic entre Fédala et les pays étrangers, Portugal, Espagne, France etc. Il va connaitre des travaux de consolidation, sous le règne de la dynastie alaouite : Sidi Mohammed Ben Abdellah, Moulay Hassan I° et Moulay Abderrahman, ce dernier procèdera à la fermeture du port de Casablanca, pour ouvrir au commerce celui de Fédala. Ce pont sera connu sous le nom de « pont portugais » des travaux d’entretien seront engagés sous le protectorat français et après l’indépendance du Maroc. Au cours de cette dernière décennie, il sera remplacé par un nouveau pont. Il serait souhaitable de rappeler à nos jeunes écoliers, la présence de ce monument, indissociablement lié avec l’histoire de leur pays, la mémoire de la résistance à la pénétration étrangère par les tribus de la région (Zenata, Ziaida …) et le patrimoine de la ville de Fédala – Mohammedia …
- Photo prise en 2003.
- Le pont supportera les rails du chemin de fer Casablanca – Rabat !
- Une des nombreuses portes de la Kasbat de Fédala, dans les années 1950, nous pouvions encore admirer les splendeurs de l’architecture marocaine et surtout étrangère, notamment espagnole. En effet, nul besoin d’être un grand clerc, pour souhaiter le rétablissement – réhabilitation, des splendides demeures qui rappellent, la présence des négociants espagnols, portugais, français et italiens !
- Johnny Halliday.
- 2015 : Affiche des journées du patrimoine de Casablanca et Mohammedia.
- Affiche des journées du patrimoine de 2015, pour la ville de Mohammedia de l’Association des Français de Mohammedia, relative aux randonnée Urbaines Culturelle, relative aux Réalisations architecturales – 1920 à nos jours.
- L’ex Casino de Fédala.
- En 1919, le classement d’un monument historique.
- Cette place fera l’objet de nombreuses attaques de la part des résistants de la Chaouia !
- Dahir promulgué par le Résident Général Lyautey, ex Commandant des troupes stationnées à la frontière marocaine à Aïn Sefra en Oranie, et inspecteur chargé de mission au Maroc en janvier 1908 pour procéder au remplacement du Général Drude. Dans les années 1930, la place portera le nom du Maréchal Lyautey, on assistera donc à la disparition des monuments historiques, et leur remplacement par la statue du Maréchal Lyautey. Au lendemain de l’indépendance du Maroc, la statue du Maréchal sera déplacée à l’intérieur du Consulat de France.
- L’entrée principale de la Kasbat de Mohammedia.
- Motif sur le fronton, qu’on retrouve au dessus des portes de Kasbat à travers la région du Tamesna.
- Autre vue de l’entrée.
- Belle arcade qui donnait accès aux résidences des négociants en céréales.
- Agrandissement des motifs de la porte ci-dessus. La richesse de ces motifs devrait ( en principe ) faire l’objet d’une note de la part des spécialistes du patrimoine.
- Un exemple de « patrimoine » de nos Kasbats qui mérite réflexion …
- Des détails fort intéressants.
- Au fond le minaret de la mosquée blanche.
- Une des portes de l’intérieur de la Kasbat. A faire découvrir à nos jeunes écoliers …
- Un des fondouks de la Kasbat.
- La richesse des motifs justifie la découverte de ce pan du patrimoine de la ville de Mohammedia ex Fédala.
- La richesse des motifs justifie la découverte de ce pan du patrimoine de la ville de Mohammedia ex Fédala.
- Il faut sauver la Kasbat de Mohammedia ex Fédala.
- Traduction : Le dernier clou dans le nid du colonialisme.
- Par train … spécial.
- Il reçoit le Résident Général, le Général Guillaume.
- Le résistant Allel Ben Abdellah, à bord de sa voiture nient de percuter la monture du pseudo sultan …
- La redoutable équipe de la propagande coloniale, composée de Boniface, Chef de la Région de Casablanca, Kettani, Glaoui et le fameux Ben Arafa !
- Les résistants de la ville de Marrakech viennent d’assener au système mis en place, un violent coup de semonce. Cette image montre le pseudo sultan, le visage ensanglanté, à sa droite, le pacha El Glaoui tenant entre ses mains, une arme automatique offerte par la Résidence …
- Le fameux Boniface fera venir son « ami » et poulain, Ben Arafa à Casablanca. Une tentative audacieuse, dans le pur style de la propagande de l’époque. Cette image montre le … cortège de son sultan, entouré de barbouzes … Cette visite éclair (gardée secrète) échappa à la vigilance des résistants de Casablanca !
- La chaîne des Kasbat au Maroc en général et tout au long de la cote atlantique et région en particulier, relève d’une stratégie de défense du territoire marocain depuis les Berghouata… Les Kasbats de Médiouna, Fédala, Mansouria, Bouznika, Sekhirat, Témara etc. font partie de la chaîne. Il va falloir … creuser l’origine de la construction de la Kasbat d’El Mansouria !
- AL IDRISSI – WORLD – MAP
- Plaque commémorative à la mémoire de Jacques Hersent.
- Du thon, au port de Mohammedia – Fédala : On commence par l’exploitation des richesses halieutiques !
- La construction d’une ville européenne faisait partie des priorités du groupe Hersent.
- Faites vos jeux … Au casino de Fédala !
- Place Mohammed V Sculpture de Kabbaj Ikram.
- Place Mohammed V Sculpture de Kabbaj Ikram.
- La corniche d’Aïn Diab, Une œuvre de l’artiste sculpteur Sahbi.
- La corniche d’Aïn Diab : Une œuvre de l’artiste sculpteur Sahbi.
- Ahl Loghlam : une mandibule
- Ain Diab : mandibule
- Ain Diab : Carrière Martin, industrie Levalloisienne.
- Ain Jemaa à 17 km de Casablanca (Anfa) cette pière portant une inscription en Tifinagh. Exposée au musée de Casablanca avant son transfert au musée de Rabat.
- Plaque commémorative à la mémoire du résistant Rachidi Ahmed.
- La légende qui accompagna la photo de Mohamed Ben Abdelkrim El Khattabi » 7 Photo d’Abdelkrim El Kattabi, le fervent révolutionnaire en exil avec ses deux enfants » Cette photo à été prise en Egypte, le pays qui avait accueilli le héros de la guerre du Rif, après son exil dans l’ile de la Réunion, l’Egypte qui lui fera des funérailles nationales.
- La légende qui accompagna cette photo » 28- Femmes de la résistance en réunion à Rabat dans les années 50. » Au Maroc, nous reconnaissons nos compatriotes femmes de la zone nord à travers l’élégante manière de porter le petit voile. Ce ne sont donc pas des « femmes de la résistance en réunion à Rabat … » Il s’agit d’une réunion des femmes de Tétouan, qui revendiquèrent le retour d’exil, du Sultan légitime Sidi Mohammed Ben Youssef et de sa famille.
- La légende qui accompagna cette photo « 39- Célébration du nouvel an en 1977 » Il s’agit de la troupe du Lido de Paris qui s’était produite au casino de la Mamounia dans les années 1950 … en présence de M. de Blesson de la Résidence Générale et de différentes personnalités de l’époque. Cette image représente la « troupe » du Lido, invitée du Glaoui, le pacha de Marrakech.
- La légende qui accompagne cette image « 19- Le 11 septembre 1953, Allal Ben Abdellah tente d’assassiner le sultan » Il s’agit du résistant Allal Ben Abdellah, qui ne tente pas « d’assassiner » le sultan fantoche Ben Arafa, placé par la Résidence, mais d’exécuter un acte hautement symbolique, vingt deux jours après la déposition du Sultan légitime Sidi Mohammed Ben Youssef !
- La légende qui accompagnait cette image « 10- Miss Maroc en 1957 était bel bien une demi-finaliste de Miss Monde » Cette photo date de 1961 et non 1957, l’obscure candidate qui répond au nom de Marilyn Escobar, ne représente qu’elle même. Des agences spécialisées promettent à ce type de « candidates » un bel avenir, dans les différents domaine de l’exhibition !
- Le journal Maroc-Presse du 12 décembre 1952.
- Les tanks du Général Duval, traversent Hay Mohammedi – les Carrières Centrales, en décembre 1952.
- Les funérailles des victimes des évènements de décembre 1952.
- Plaque commémorative à la mémoire des martyres du 8 décembre 1952.
- Plaque commémorative à la mémoire des martyres du 8 décembre 1952.
- Evénements de décembre 1952 : Des résistants issus des quartiers de la périphérie. Le crane rasé, sous escorte de gardes armées jusqu’au dents, ils seront présentés devant le pacha de la ville, assisté d’un « conseiller technique » de la Résidence Générale.
- Février 1956 : Le nouveau gouverneur Si Ahmed Bargach, présente au nom de la population le lait et les dattes. Par cette visite, S.M. Mohammed V, rend hommage aux résistants et à la population, qui s’est battue pour le retour du Sultan légitime et le départ de celui que la Résidence avait placé à ses cotés.
- Place Moulay Youssef : Plaque confectionnée par des artisans marocains, les caractères sont en zellij noir.
- Première plaque en arabe de Derb El Hajib, c’est celle du m3allem Hajji, cette manière d’opérer était mal perçue par la propagande du protectorat …
- Ibn Batouta
- Le Sultan Moulay Youssef, c’est lui qui fera construire le premier palais royal, en dehors des villes traditionnelles, c’est lui qui marquera son accord au chambellan Si Ababou, pour construire, le premier quartier de la Nouvelle Médina – Derb Sultan. Quartier doté de hammam, four, fontaines et mosquée Ababou. Le Ministère des Habous, sur instructions de S.M. Moulay Youssef, fera édifier, le quartier que nous connaissons aujourd’hui sous le nom des Habous. La ville de Casablanca peut s’enorgueillir, d’avoir une copie de l’Université de la Qaraouiyin à travers la mosquée Mohammedi.
- Carte postale de Derb El Hajib : Pour bien saisir l’enjeu capital pour l’administration du protectorat, toutes les cartes postales de Der El Hajib, porteront la mention Habous et où Nouvelle Médina …
- S.M. Mohammed V reçoit les résistants après leur libération, des geôles du protectorat.
- Le premier Gouverneur de la ville de Casablanca, Haj Ahmed Bargach est reçu par les responsables de la ville, pour la passation des pouvoirs. Ce sont des moments historiques qui auront pour conséquences de tourner la page, pour ne plus revivre les restrictions imposées par les ultras !
- Autour de S.M. Mohammed V, le premier gouvernement marocain, présidé par Si Bekkai, on reconnait en tenue traditionnelle, outre Si El Mokri, Mokhtar Soussi, Mohamed El Fassi et Si Lahcen Lyoussi.
- Enfin, nous n’aurons plus à supporter ce type de plaisanterie.
- Le grand caïd Layadi, propriétaire au sein de la ville Européenne de Casablanca, de biens immobiliers, cette éminente personnalité, n’est pas aussi connue, que Si Glaoui et Tazi, propriétaires eux aussi, de biens immobiliers à Casa ! L’une des raisons, c’est son refus catégorique, de cautionner la déposition du Sultan légitime Sidi Mohammed Ben Youssef future Roi du Maroc, S.M. Mohammed V.
- Le modèle des plaques imposé par la commission … municipale.
- 1956 : S.M. Mohammed V, lors de sa visite historique à Casablanca, tant pour Derb Sultan (Habous) que pour le Hay Mohammedi ex Carrières Centrales. A noter que le quartier portera au départ la localisation de « Cité Mohammedia ». Le gouvernement de Sa Majesté, entamera à partir de décembre 1958, la construction de logements à bon marché et la construction d’une école, pour remédier à la dramatique situation léguée par le protectorat.
- 1956 : Des enfants du Hay Mohammedi ex Carrières Centrales, participent à l’accueil de S.M. Mohammed V.
- A l’instar des autres quartiers marocains de la ville de Casablanca, Le Hay Mohammedi, mènera le combat pour la libération du pays, bien avant l’envoi en exil de feu Mohammed C, par la Résidence. Dans le domaine du scoutisme ou celui du football, une parfaite concertation régnait entre les dirigeants de la ligue libre. Cette image de l’équipe de Al Ittihad (TAS) des années 1950, on reconnait des militants de Derb Sultan. A l’extrême droite Sebbata (gardien de but de la régie des tabacs) à partir de la gauche, koumani et Bensaid.
- « La Fête du Sang » Le titre provocateur des cartes postales de cette nature, laisse rêveur. Malheureusement, des courroix de transmission, s’activent à rebondir surs ces « propagandes » pour en « débattre » …
- La légende de la carte postale » Casablanca – Cadavres de Marocains jetés dans la fosse commune » Une des rares cartes postales, que les réseaux dits sociaux évitent de publier et d’en débattre. Les nostalgiques de la colonisation, risquent de manifester leur mécontentement !
- Un document historique : En novembre 1942, les avions américains tournaient autour de la ville de Casablanca, pour lâcher le premier message du Président des Etats Unis d’Amérique, destinés aux habitants du Maroc. Message signé du future président américain Dwight D. Eisenhower. C’est une nouvelle ère qui s’annonce pour la libération de la France et pour l’avenir du Maroc.
- C’est le Casablancais Si Abdelmalek Lahlou, qui va nous laisser un document exceptionnel, sur l’opération Torch et ses conséquences sur la ville. Seul, un enfant du pays était en mesure de relater cette page de l’histoire du Maroc en général et celle de Casablanca en particulier.
- Dès les premières heures du 8 novembre 1942, nous entendîmes les effets de l’affrontement entre les forces navales et aériennes américaines et les forces de Vichy. C’est un véritable carrousel auquel nous avons assisté, à partir des toits de nos maisons. Les avions en particulier exécutaient des « figures » que nous découvrons pour la première fois, dans le ciel de Casablanca !
- Image du port, à partir de l’ex place Philibert, celui qui bombarda la ville entre les 5 et 7 août 1907.
- combat navale et aérien.
- Le Massachusetts au large de Casablanca.
- Le ballet des avions de chasse au dessus de la ville de Casablanca – Ancienne Médina, Ville Européenne, Derb Sultan et la banlieue !
- L’opération Torch avait pour objectif de préparer la libération de l’Europe et celle de la France, pour qu’elle puisse reprendre sa place dans le concert des nations. Ce sont les forces de Vichy qui se manifestent, pour s’opposer aux troupes américaines … Le ridicule ne tue pas !
- Le Tuscaloosa au large de Casablanca.
- Avant le débarquement des américains, la ville Européenne de Casablanca était sévèrement contrôlée par les milices dits gardes, ces derniers avaient fait de la ville de Benslimane ex Camp Boulhaut, le centre incontournable des ultras !!!
- Les abonnés ont été informés de l’interruption le 8 novembre 1942 !
- Le Jean-Bart, qui se trouvait à l’intérieur du port de Casablanca, posera d’énormes problèmes aux forces américaines, en raison de sa puissance de frappe, qui fera secouer toute la ville, au moment de ses terribles tirs. C’est avec beaucoup de peine que les américains arriveront à le réduire au silence. Je me souviens des nuits blanches (toutes lumières éteintes) avec leur cortèges de détonations !
- Les avions des forces américaines en parade, place Mohammed V ex place Lyautey. L’Horloge de la ville, un témoin privilégié et imperturbable, de l’histoire de la ville de Casablanca.
- Carte du théatre des opérations menées par les forces américaines contre celle de Vichy, entre les 8 et 11 Novembre 1942.
- Carte des opérations entre les batteries d’Oukacha et ceux du pont Blondin et du port de Mohammedia ex Fédala.
- L’emplacement des navires à l’intérieur du port de Casablanca.
- Les combats se sont poursuivis à l’aéroport d’Anfa ( ex aérodrome du camp Caze). De nombreux appareils ont été cloués au sol par la redoutable escadrille américaine.
- Les combats font rage au port de Casablanca. A droite l’immeuble Moretti, angle Avenue des FAR. Au centre l’horloge.
- L’artillerie d’El Hank, avec ses plateformes, elle donnera du fil à retordre aux navires américains, avant de céder sous les attaques répétées de l’aviation.
- Le débarquement des troupes américaines du coté du pont Blondin, après avoir fait taire, la redoutable défense anti aérienne de Mohammedia ex Fédala.
- Un emplacement des batteries chargées de défendre la ville de Mohammedia ex Fédala (Une partie du patrimoine…)
- Un autre emplacement des batteries du pont Blondin.
- Le débarquement des troupes américaines, pas loin du pont Blondin.
- Le débarquement dans les environs de Mohammedia ex Fédala.
- Photo LIFE : Le pécheur à la « pelote » ou « fizga », n’a pas l’air d’être surpris par le débarquement des troupes américaines.
- Le matériel roulant des américains, fait son apparition au Maroc et à Casablanca en particulier.
- Ces véhicules « Djipp » que nous allons découvrir pour la première fois, sur la route de Médiouna, servait de « distributeur » de chewingum bonbons et … chocolat ( les cigarettes étaient destinées aux adultes) Nous étions nombreux à passer notre permis de conduire, à bord de ces véhicules à 3 vitesses (y compris la marche arrière) !
- Les chameliers poursuivent leur livraison de céréales destinés pour la France. Les américains pour leur part, feront le trajet de Mohammedia à Casablanca à pied. En cours de route, ils procéderont au nettoyage de nombreux nids de résistance, en particulier à Ain Sebaa, aux alentours de la maison de bienfaisance des Œuvres Laïques, l’actuelle Ecole Française des Affaires.
- La traversée de l’Atlantique : Pour préparer la libération de l’Europe, un des nombreux batiments de transport de matériel de guerre, qui se dirige vers la cote marocaine.
- Un des documents qui font partie du patrimoine.
- C’est l’hotel d’Anfa qui abritera une partie de la délégation allemande de la commission mixte d’armistice. Les autres membres, sous la direction d’un officier supérieur, seront répartis entre l’hotel Majestic et autres lieux.
- Le Général Bethouart, en compagnie des officiers allemands membres de la commission d’armistice.
- Des officiers allemands, attachés à la Luftwaffe.
- Arrestation de quelques officiers allemands, dans des cabanons entre Casablanca et Mohammedia ex Fédala.
- Les forces américaines défilent au centre de la ville européenne.
- Le Général américain Clark, prononce son discours à l’occasion du défilé des troupes américaines, sous l’œil attentif du Maréchal Lyautey, premier Résident Général au Maroc.
- Le défilé des troupes américaines.
- La victoire pour … tous !
- Le défilé des troupes Françaises.
- Un défilé qui regroupa les armées alliés.
- Le matériel américain, présenté au public qui s’est massé avenue du Général d’Amade, ex champion de la « pacification » de la Chaouia.
- Au Bd de la Gare : La ville européenne en liesse pour fêter le débarquement des troupes américaines. La sécurité urbaine sera assurée en commun entre la police française et américaine.
- Janvier 1943 : Place Mohammed V ex place Lyautey.
- La rue Nolly constituait le centre incontournable de la haute couture, des élégantes de la ville européenne.
- Un nouveau modèle de voiture automobile !
- 1926 : Concours de la pêche à la ligne.
- Le boulevard de la Gare, dont les différents aspects obéissent aux normes des grandes villes européennes. Il fallait offrir aux nouveaux venus, toutes les commodités et le confort voulus. Les marocains se rendaient à leur lieu de travail en ville européenne en bus, ce moyen de transport (un luxe) leur permettait surtout, de rejoindre leurs « Médinas » et Bidonvilles, après la sortie de travail.
- avaient leur us et coutumes, les célébrations se succédaient les unes après les autres. A titre d’exemple, le concours des Catherinettes.
- Une des manifestations les plus prisées des habitants de la ville européenne, c’est le « Veglione » où carnaval. Cette image nous donne une « idée » sur l’importance de ces manifestations, nous sommes au bd de la Gare !
- La procession organisée par les habitants du Maarif. Un des plus beaux spectacles religieux, en milieu catholique de la ville européenne de Casablanca. Magnifique organisation dans le recueillement et le respect.
- Il y avait le marché central, central par rapport aux autres marchés de la ville européenne exemple, celui des Roches-Noires, du Maarif, de l’Oasis, Beauséjour etc.
- Le concours du plus beau déguisement, avait les faveurs des européennes. Elles combinaient avec beaucoup de savoir-vivre, coquetterie et élégance, c’est dans la nature des choses.
- En Ancienne Médina : Le café de commerce, haut lieu des spéculateurs immobiliers, qui donnera naissance à une camarilla de « promoteurs » des beaux immeubles de la Ville … Européenne !
- Le casino des Roches-Noires.
- Le scoutisme était très développé auprès des jeunes de la ville européenne, ce qui n’était pas le cas, pour les jeunes des quartiers de la périphérie !
- Au port de Casablanca.
- Un des nombreux concours organisés par les habitants de la ville européenne de Casablanca.
- Les spectacles de la ville européenne.
- Le spectacle est terminé pour cette page.
- CASABLANCA. AUTREFOIS ET AUJOURD’HUI.
- CASABLANCA. AUTREFOIS ET AUJOURD’HUI.
- Les appellations des lieux changent en fonction du temps et de l’espace. Le photographe Flandrin, pour des raisons « commerciales » n’hésitait pas à entretenir l’amalgame en publiant (pour les amoureux de Casa) son fameux album, intitulé « Casablanca. Autrefois et Aujourd’hui ». Il s’agit en fait, de la ville européenne, et non de la ville de Casablanca. Les quartiers dits « arabe » ne sont pas pris en compte dans cet album de … CASA ! Cette image des années 1930, regroupe des enfants, qui été sélectionnés en vu de concourir, pour le titre, du plus beau bébé de … Casablanca. Comme nous le savons, il s’agit en fait de concours du plus beau bébé de la ville européenne. Il n’y avait aucun risque, de trouver parmi eux, un bébé de nos chères Médinas et où Hay Mohammedi ex Carrières Centrales, Ben Msik etc.
- La prison d’Anfa avant sa démolition et le transfert de ses … arcades au parc de la ligue arabe ex parc Lyautey.
- Fixée sur les arcades de la prison d’Anfa, cette plaque commémorative à été « enlevée » par des inconnus, qui sont certainement à l’origine des tags, dont ce monument historique à fait l’objet !
- La trace des actes de vandalismes, dont fera l’objet ce monument historique !
- La trace des actes de vandalismes, dont fera l’objet ce monument historique !
- La trace des actes de vandalismes, dont fera l’objet ce monument historique !
- La trace des actes de vandalismes, dont fera l’objet ce monument historique !
- D’une arche aux autres, une installation Daniel Buren.
- Un concours d’élégance !
- Les trolleybus. Du Tac au Tac !
- 1925 : Au palais des Congrès (la Coupole) au parc de la ligue arabe ex parc Lyautey : Concours organisé par l’Institut de Sténographie de France. Il y a ceux qui vont s’empresser pour nous donner la liste des candidats, et faire en sorte de ne pas relever, l’absence totale de jeunes filles marocaines. Pour ceux qui ne le savent pas, il fallait attendre l’indépendance du pays (vers 1958/59) pour que les premières marocaines, puissent enfin prendre des cours de … sténographie !
- Allez ! Une médaille de plus ou de moins !
- A l’occasion de la célébration de la victoire, les drapeaux des puissances alliées cote a cote à Casablanca.
- Au centre de la ville européenne, des officiers américains en compagnie de jeunes Casablancais.
- La ville de Casablanca s’inscrit dans l’histoire. Les responsables des forces américaines et anglaises, préparent la Conférence d’Anfa.
- Ouverture de la Conférence d’Anfa en présence du président Roosevelt,des Etats Unis d’Amérique, du premier ministre anglais W. Churchill, du chef de la résistance Française, basé à Londres et du Général Giraud des Forces Françaises à Alger.
- En Janvier 1943 : A la fin de la conférence d’Anfa, le président Roosevelt et le premier ministre anglait, s’entretiennent avec les journalistes.
- Le photographe Flandrin, devait (en principe) réaliser un album des quartiers de la périphérie (avant-après / autrefois-aujourd’hui) similaire à celui consacré à la ville européenne… Il y avait un risque « esthétique » et de « nuisances » !
- 1945 : Après la victoire des alliées, le Général De Gaulle fait son entrée à Casablanca.
- Un des aspects de l’histoire de la ville de Casablanca, et particulièrement celui de la ville européenne, à été volontairement occulté sous le protectorat. De nouvelles pistes attractives, ont été mises en musique, pour « enrichir » le débat !!! De très rares sites spécialisés, consacrent quelques lignes aux évènements majeurs suivants : 1-La Conférence d’Anfa et son impact sur l’ensemble des continents. 2-La présence de S.M. le Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef, accompagné du prince Moulay Hassan, auprès du président des Etats Unis d’Amérique et du premier ministre anglais W. Churchill. 3-La disparition du monument commémoratif de Mohammedia ex Fédala, relatif au débarquement des troupes américaines etc.
- Plaque commémorative à l’occasion de l’inauguration de la mosquée Al Mohammedi.
- Le majestueux minaret de la mosquée Al-Mohammedi.
- La place administrative, sous le protectorat.
- 1924 : Inauguration par le Maréchal Lyautey, du monument de la victoire et de la paix, qui sera baptisé, monument de l’amitié franco-marocaine.
- Après l’indépendance du Maroc, la statue de la victoire, sera transférée en France.
- Dans les années 1930, le Maréchal Lyautey fait appel au sculpteur Cogné pour préparer sa statue.
- Sous le protectorat : la statue du Maréchal Lyautey, place Lyautey, en face de la résidence Lyautey.
- Après l’indépendance du Maroc, la statue du Maréchal Lyautey, sera installée à l’intérieur du jardin, du Consulat de France, place Mohammed V.
- La statue du Maréchal Lyautey, dans le jardin du Consulat de France.
- Casablanca : Le Résident Général Noguès en compagnie du Général Patton.
- Casablanca : Le prince Moulay Hassan, future roi Hassan II, en compagnie du Résident Général Noguès et du Général Clark.
- Casablanca : Au camp Caze ex aéroport d’Anfa. S.M. Mohammed V, lors d’une présentation du matériel américain, accompagné du prince Moulay Hassan, du Résident Général Noguès et du Général Patton.
- Casablanca : Au camp Caze, montage du matériel américain par des hommes de la base navale de Casablanca. C’est à partir de Casablanca, que l’Europe sera délivrée.
- Casablanca : Un centre d’apprentissage pour les jeunes marocains à été ouvert à la base américaine.
- Casablanca : Le prince Moulay Hassan assiste à une démonstration des forces aériennes américaines, en présence du Résident Général Noguès et du Général Patton.
- Casablanca : S.M. Mohammed V et le Général Patton, lors d’une présentation du matériel américain.
- Des Bons du Trésor à souscrire pour la victoire de la France.
- Casablanca : Au Consulat d’Italie, une photo souvenir des médecins militaires américains.
- Casablanca : Au centre de la ville européenne, bd Mohammed V ex bd de la Gare, rond-point Shell, le Général Clark, salue le drapeau américain, avant de rejoindre les responsables militaires américains pour assister à une réunion, qui s’est tenue dans l’immeuble Shell. C’est un lieu de mémoire qui fait partie du patrimoine de la ville de Casablanca.
- Casablanca : Aéroport d’Anfa (Camp Caze) le chef de la résistance Française, le Général De Gaulle. Il incarnera, à travers sa personnalité, la résistance des Français Libres, face à l’occupation de leur pays. Un homme digne de respect et d’admiration. Après la libération de son pays, il fera de S.M. Mohammed V, l’une des cinq personnalités étrangères, qui porteront le titre de Compagnon de la libération.
- S.M. Mohammed V, accordera au Général De Gaulle, la plus grande distinction honorifique chérifienne. C’est un signe de reconnaissance de la part de la légitimité du combat mené par De Gaulle. Moment historique, dans les moments difficiles, qui situe le Maroc au niveau des grandes nations.
- Casablanca : A la fin de la conférence d’Anfa, le président américain Roosevelt et W. Churchill, tiennent une conférence de presse.
- Casablanca : A la fin de la conférence d’Anfa, le président américain Roosevelt et W. Churchill, tiennent une conférence de presse.
- Casablanca : A la fin de la conférence d’Anfa, le président américain Roosevelt et W. Churchill, tiennent une conférence de presse.
- Les soldats américains veillent sur la conférence d’Anfa.
- Alerte dans le ciel de Casablanca. Chez nous, tous les enfants ont passés une horrible nuit blanche, sous le lit.
- Du coté du port.
- L’article qui accompagna la publication des photos, après accord de la censure (W.H. 1708 et 1709)
- Un programme artistique au parc Lyautey.
- Le ravitaillement et le plat populaire pour les refugiés d’Europe.
- Un des nombreux concerts américains.
- Rencontre à Casablanca entre le président Roosevelt et le Général De Gaulle.
- Les habitants de la ville européenne de Casablanca, accueillent le Général De Gaulle, place Lyautey.
- Photo souvenir d’un groupe d’enfants en compagnie d’officiers américains.
- Lors de la conférence d’Anfa, de nombreuses villas ont été réquisitionnées pour loger les différentes personnalités.
- Casablanca : S.M. Mohammed V, en présence du prince héritier Moulay Hassan, reçoit le Général De Gaulle.
- Les métiers.
- Photo Life : Plage de Sidi Abderrahman.
- 1942 : Au palais royal de Casablanca, S.M. Mohammed V, reçoit le Général Patton et lui décerne une distinction honorifique Chérifienne, en présence de S.A.R le prince Moulay Hassan et du Résident Général Noguès.
- Au palais royal de Casablanca. le Général Patton reçoit des mains de S.M. Mohammed V, les insignes du Ouissam Alaouite.
- Au camp Caze, le Général Patton présente à S.M. Mohammed V, le matériel américain.
- Au palais royal de Casablanca. le Général Patton reçoit des mains de S.M. Mohammed V, les insignes du Ouissam Alaouite.
- Casablanca : S.M. Mohammed V, accompagné de SAR Moulay Hassan et du Résident Général Noguès, en visite au camp Caze, à l’invitation du commandement américain.
- Au centre de la ville européenne, les américains feront installés ces panneaux indicateurs d’un nouveau genre, qui ont fait de la ville de Casablanca, le carrefour du monde !
- 1943 : Le président Roosevelt et le Général Patton sur les hauteurs d’Anfa.
- Monument commémoratif, relatif au débarquement des américains en novembre 1942. Monument chers aux cœurs des amoureux de Fédala (Mohammedia).
- La route de Casablanca à Marrakech.
- Un hippomobile dans les années 1940.
- Devant la brasserie la canebière, au bd du 4ème Zouaves, les marins américains en compagnie d’un jeune dresseur de singe.
- Casablanca en 1943 : La conférence de presse donnée par le président Roosevelt et le premier ministre anglais Churchill.
- 1943 : Après le diner offert par le président Roosevelt, et l’entretien en tête a tête entre S.M et le président des Etats Unis. Photo souvenir de S.M. Mohammed V accompagné du prince héritier Moulay Hassan.
- Au cinéma Rialto, Joséphine Baker, une chanteuse française, interprète des standards du jazz américains.
- Un des billets de banque, imprimés aux Etats Unis d’Amérique.
- Casablanca en 1943 : S.M. Mohammed V reçoit le Général Clark accompagné du Général Patton, en présence du Général Résident Noguès.
- La plaque descriptive de la Seqala.
- La plaque descriptive en langue arabe.
- Ecusson relatif à la fin des travaux en date de 1205 de l’hégire. Les travaux ordonnés par le Sultan Sidi Mohammed Ben Abdellah, concernaient les ports des villes d’Essaouira ex Mogador, El Jadida ex Mazagan, Larache et Dar El Baida ex Anfa.
- Au fond à droite la koubba de Sidi Allel El Kerouani.
- Une des nombreuses cartes postales, relatives au bombardement de la Seqala et de la koubba de Sidi Allel El Kerouani.
- La porte qui donne accès à l’esplanade. Au fond, le port.
- La porte qui donne accès à l’esplanade. Au fond, le port.
- Une des plaques commémoratives relatives aux réalisations du Sultan Sidi Mohammed Ben Abdellah à travers les villes côtières.
- Le fort Provost, qui faisait partie du patrimoine militaire de la place. Au lendemain de la guerre du Rif, il sera démoli par les soins des militaires !!!
- Le fort Ihler, qui faisait partie du patrimoine militaire de la place. Au lendemain de la guerre du Rif, il sera démoli par les soins des militaires !!!
- IN MEMORIAM
- La rue d’Italie à Tanger-
- Rue d’Italie.
- Rue d’Italie.
- Rue d’Italie.
- Rue d’Italie.
- Rue d’Italie.
- Rue d’Italie.
- Rue d’Italie.
- Rue d’Italie.
- Rue d’Italie.
- Rue d’Italie.
- Rue d’Italie.
- L’Automobile Club Marocain.
- L’Automobile Club Marocain faisait partie de l’aménagement de la place Lyautey, il occupait un emplacement central, à sa gauche la poste et la banque d’état du Maroc, à sa droite la statue de la victoire et celle du Maréchal Lyautey, le tribunal de juridiction Française etc. C’est en quelques sortes, le gardien du Temple !!!
- 1) l’Automobile Club Marocain 2) Les baraques du QG des Généraux Drude et d’Amade, classées monument historique. En 1934, les spécialistes chargés de l’aménagement de la place et de la « communication » vont faire disparaitre (de nuit) les baraques historiques, pour pouvoir installer la statue équestre du Maréchal Lyautey !!! 3) Le théatre dit municipal. Ainsi pris fin, le long processus de …
- L’Automobile Club Marocain.
- Vue aérienne du parc Lyautey.
- Le siège de l’ACM côtoiera la fontaine lumineuse et musicale, réalisée par une société spécialisée espagnole.
- La porte d’entrée de la poste principale de la ville européenne, réservée aux militaires.
- Place Lyautey : Une des terrasses historiques de la ville européenne.
- En Octobre 1925 : A l’occasion du départ définitif du Maroc du Résident Général, le Maréchal Lyautey, l »allocution prononcée par le président de l’Automobile Club Marocain, lors de la réception donnée dans les locaux du Club de la place Lyautey.
- Les Indigènes Musulmans et Israélites assistent à la réception donnée à la Région Civile de Casablanca.
- 20 Août 1953 : Le départ en exil de feu Mohammed V et de la famille royale.
- Plaque commémorative à Corsica.
- 1954 : Le Résident Général Guillaume, préside un séance dite de travail !!!
- Le retour d’exil de S.M. Mohammed V en France.
- Feu S.M. Mohammed V, en compagnie de la princesse Lalla Amina, née en exil à Madagascar.
- Le retour triomphal de feu S.M. Mohammed V.
- S.M. Mohammed VI.
- Feu S.M. Hassan II.
- Dédicace de Fannius à Pierre Lyautey.
- Jean Fannius.
- La plaque commémorative, relative à l’inauguration de la mosquée des Habous par S.M. Moulay Youssef en 1342 de l’hégire.
- La première plaque des Habous au nom de Moulay Youssef.
- Il faut lire, par croissance de … Casablanca, celle de la ville européenne.
- L’article de presse est consacré à la ville européenne … Il n’en demeure pas moins, que la « bourgade » lire Ancienne Médina, de plus de 40.000 habitants, en prend pour son grande !
- Le programme de démolition des monuments de l’Ancienne Médina est en cours d’exécution !
- La Banque Commerciale Italienne de Casablanca. Angle rue Tahar Sebti et Chaouia.
- La Banque Commerciale Italienne de Casablanca. Angle rue Tahar Sebti et Chaouia dont les locaux sont occupés par la BMCE.
- Le discours colonial, chères aux « pionniers » des « colonies » fait mouche à … Casa !
- Situé en plein centre de Casablanca – ville européenne – Evidement, Son Excellence le pacha de Marrakech, ne va pas investir dans un des nombreux bidonvilles ou quartier indigène de la périphérie Casablancaise. C’est de la poudre aux yeux, qui avait pour objectif, de faire croire aux lecteurs étrangers, que les « autochtones » avaient la « liberté » et les moyens financiers, pour investir dans l’immobilier … La ville européenne que nous avons connus, n’a jamais abriter d’indigène, il fallait attendre l’indépendance, pour que des marocains puissent louer des appartements. Les statistiques sont là pour apporter leur témoignage …
- 1912 : Au lendemain de la « signature » de l’acte de protectorat, le Résident Général Lyautey, remet aux frères Glaoui, la croix de la légion d’honneur, la première distinction attribuée à un Marocain.
- Une des pages de notre patrimoine immatériel.
- L’un des Frères Tharaud.
- Jean Tharaud.
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- Boulogne-sur-Mer.
- Boulogne-sur-Mer.
- La seqala.
- Août 1907 !
- Les Revendications du Peuple Marocain en 1934.
- Des revendications préparées par les membres de la Koutla Al 3amma Al Wataniya.
- Le comité de la délégation marocaine.
- Le pacha de la … « bourgade » de Casablanca, prisonnier de guerre. Il s’agit en fait de Si Boubker Bouzid Slaoui, un grand administrateur et amoureux de son pays. Il s’opposa de toutes ses forces au bombardement des quartiers et poches de la résistance. Comment expliquer l’arrestation du pacha de la ville en tant que prisonnier de guerre !!!
- Si Hachem Maaroufi dans 3abir Ezzouhour, page 292 : La campagne des étrangers contre les autorités de la ville de Casablanca … Parmi ces étrangers, le docteur Weisgerber …
- La ligne N° 4 qui reliait Derb Sultan à la ville européenne.
- Si Hachem Maaroufi dans 3abir Ezzouhour, page 293, suite des mensonges du fameux « docteur » Weisgerber.
- Si Hachem Maaroufi, dans 3abir Ezzouhour, page 294.
- Notre ami … le « docteur » Weisgerber.
- Si Hachem Maaroufi, dans 3abir Ezzouhour, page 295.
- Si Hachem Maaroufi, dans 3abir Ezzouhour, page 296.
- Le Terminus …
- Si Hachem Maaroufi, dans 3abir Ezzouhour page 297.
- Si Hachem Maaroufi, dans 3abir Ezzouhour page 298.
- Si Hachem Maaroufi, dans 3abir Ezzouhour page 299.
- Si Hachem Maaroufi, dans 3abir Ezzouhour page 300.
- Si Hachem Maaroufi, dans 3abir Ezzouhour page 301.
- La première édition de 3abir Ezzouhour, une référence pour la connaissance de l’histoire de la ville …
- Si Hachem Maaroufi, l’auteur de 3abir Ezzouhour. Evidement, il ne pouvait pas publier son livre sous le régime dit de protectorat, seuls, les étrangers avaient le … « droit » de publier les louanges de la colonisation, à travers les différentes maisons d’édition dites « Marocaines » …
- Comment ces gens là, ont eu le « courage » de publier des cartes postales du genre, au mépris de tous les principes de … Une armada de plus de dix bâtiments de guerre, qui bombarde durant trois jours la ville « indigène » sous le commandement d’un amiral … et en prime de la dérision ! C’est pitoyable …
- Sous le protectorat, il y avait la ville arabe et la ville européenne, quoi de plus normal … Sauf que les nostalgiques de la colonisation, ont pour une fois « déroger » à la règle pour « rejeter » l’appellation de ville européenne … Va savoir !
- Carte postale de la ville européenne !
- Munis d’un appareil photographique, ils trouveront toujours un créneau inexploité, pour se rendre « utile » !!!
- Et dire que ces gens là, ont encore le courage de nous donner des leçons « de façades » !!!
- Les habitants de la ville européenne avaient des « nouvelles » des bidonvilles, à travers les cartes postales dont il envoyaient épisodiquement une joli carte en souvenir de leur séjour !
- Légende « village indigène » autrement dit, il ne faut surtout pas croire qu’il pouvait s’agir d’un « village européen » ! Plus de quarante « appellations » ont été retenues par la propagande coloniale, pour désigner les bidonvilles … C’est un travail colossal de réflexion de la part de personnes fraichement « débarquées » au pays des merveilles …
- L’arrogance de ces énergumènes n’avait pas de limites, ils s’attaquaient au moindre petit détail, pour tourner en dérision l’indigène … Force est de constater, que de nombreux « autochtones » se drapent sous l’étoffe « étrangère » pour critiquer leur pays … Au seul plaisir d’être agréable à leurs commanditaires !
- Les caricaturistes, serviles serviteurs de la propagande coloniale, ignoraient superbement la présence des habitants de la … ville européenne. Ce qui comptait pour eux ce sont les « indigènes » ! C’est à la fois curieux et malheureux …
- Souvenir de Casablanca.
- La Nidara des Habous.
- La commission municipale de Casablanca, désignée par le Résident Général, depuis 1912, avait pour consigne, de consacrer le budget de la ville à plus de 90 % à la seule ville européenne, dont il fallait en faire, le « miroir » et le « miracle » du protectorat. C’est dans ce cadre, que les subventions sont dans leur ensemble, consacrées à la ville européenne. L’exemple des subventions sportives ci-dessous, illustrent pour ceux, qui « paradent » à longueur de journées sur les « réalisations » des années 1950 !
- La suite de la liste des clubs subventionnés.
- Page 3 de la liste des clubs subventionnés.
- Au centre de la ville européenne, il y avait un espace réservé aux sportifs des clubs de quartiers, qui avaient pour noms, mers-sultan, la foncière, Maarif, roches-noires, ain-sebaa … les jeunes sportives de la carte postale, sont des casablancaises, au fond à gauche, la salle de gymnastique, connue sous le nom de casablancaise, bref, il n’y avait que des casablancais et des casablancaises, comme vous et moi !
- Marie-Thérèse Cuny, du quartier Bourgogne.
- Ain Diab, Ain Sebaa, l’Ermitage et la plage de … Sidi Beliout, faisaient partie des lieux de sorties prisées par les enfants de la ville européenne et leurs familles.
- Pierre Parent, président des anciens combattants et victimes de la guerre, résistant, homme de conviction, il habitait à Bir Jedid. C’est lui qui accompagna le journaliste Bataille, pour rencontrer le chef de la résistance du Rif, Mohamed Ben Abdelkrim Khattabi est obtenir la libération des prisonniers militaires français. Pierre Parent, soutiendra de toutes ses forces le rétablissement du droit et la libération du Maroc. Il fût l’un des rares personnes étrangères, à s’exprimer dans un journal marocain, pour exprimer son avis. Il faisait partie de ces personnes qui avaient le sens du respect du pays d’accueil et de ses habitants.
- Lemaigre Dubreuil, homme politique français, résistant, il faisait partie du groupe restreint, qui était au courant de la préparation de l’opération Torch. Au Maroc, il racheta le journal Maroc-Presse, pour ouvrir ses colonnes aux hommes libres, français et marocains, pour s’engager dans le rétablissement du droit et de la liberté. Qui ne se souvient pas de « Libres Opinions » une bouffée d’oxygène et d’espoir de liberté, pour les Marocains. Lâchement assassiné par les hommes de main de la nébuleuse association dite « Présence Française » . Ses obsèques ont été suivis par une nombreuse assistance de marocains. Qui ne se souvient pas de cette journée de deuil !
- Pierre Clostermann, un des Français Libéraux
- Marcel Cerdan, excellent footballeur au sein de l’équipe de l’Idéal, champion du Monde de boxe, rend visite à ses amis de l’équipe du Wydad.
- Cette page historique reflète la réalité des contraintes imposées sans raison, aux gens du pays pour les repousser en dehors de la ville européenne …
- Bachir Laalej, le Harry Baur marocain …
- La petite Khadija, une véritable révélation pour le théâtre marocain.
- Mohamed Macisse, un des meilleurs enfants de l’Ancienne Médina de Casablanca, qui avait, sa vie durant combattu les manœuvres des autorités de l’époque, pour empêcher les jeunes du pays de s’épanouir …
- Un des écussons de Derb El Habous daté de l’année 1338 de l’hégire.
- Les premières maisons construites par El Fqih Si Ababou, Chambellan de S.M. le Sultan Moulay Youssef. Il dotera son Derb d’un four et d’une mosquée.
- Au centre de la ville de Tétouan.
- Construite dans les années 1920, la porte de la maison du chérif, qui donnait accès au Bd Zerktouni. Cette maison sera remplacée par un immeuble.
- Le Mers du Sultan, lieu de stockage des céréales du Makhzen, faisait partie de cet important espace, dont le centre avait pour nom, Der Ben Jdia.
- Bd d’Anfa dans les années 1970.
- Au Derb Benjdia – Alsace Lorraine – Liberté.
- Avenue Mers Sultan.
- Bd Rahal El Meskini dans les années 1970.
- Le Maarif et les Roches-Noires, constituent eux aussi des foyers d’intéressantes pièces ardeco…
- Les habitants de la ville européenne de Casablanca, ont contribués à l’enrichissement de leur ville, en y incorporant des éléments de leur pays d’origine. C’est ce qui fait le charme de la ville européenne de Casablanca.
- A partir des années 1920, les habitants de la ville européenne seront appelés à participer au concours du plus beau jardin. Les propriétaires de cette ex villa du Bd Zerktouni, remporteront le premier prix, décerné par les services municipaux de la ville.
- Une des plus belle casernes de la ville européenne, elle portera le nom de caserne des Zouaves, avant de changer de nom, pour s’appeler Heude. Dans les années 1950, elle abritera le tribunal militaire, qui aura à statuer sur le sort des résistants marocains !
- Un des nombreux bâtiments de la ville européenne, situé à l’angle de l’avenue du prince Moulay Abdellah et Rue Ferhat Hachad.
- Ramon Castello, un des pionniers du zellij -azulejos- De nombreuses maisons de l’Ancienne et de la Nouvelle Médina, ont été agrémentées de ces chefs d’œuvre purement espagnol.
- Plan d’extension de la ville en … 1912.
- Un des bâtiments de la ville européenne de Casablanca, construit à partir de 1912.
- En 1912 … Au même titre que Casablanca, une ville sur commande, Canberra en Australie. Plan dressé par Donat-Alfred Agache, primé au concours International de Melbourne ( et non de gré à gré ). La division des quartiers, par rapport à ceux de la ville européenne de Casablanca est identique, sauf en ce qui concerne les quartiers politiques, asile d’aliénés et … universitaire. Il fallait attendre l’indépendance du Maroc, pour assister à l’inauguration par feu S.M. Mohammed V, de la première université du pays ! Comment expliquer cette lacune ?
- Une des nombreuses plaques des propriétaires de biens immobiliers, au sein de la ville européenne de Casablanca. Curieusement, la campagne promotionnelle à travers les cartes postales, ne fait, que très rarement, allusion à ces sociétés !
- Le député d’Oran, M. Etienne Eugène.
- Carte éditée par l’Echo d’Oran pour les 25 ans de mandat du député Eugène-Etienne. Parmi les personnalités qui faisaient partie de cercle rapproché du député, se trouve, le général Lyautey …
- Au service de la ville européenne …
- Une des nombreuses cartes postales de la « belle époque » !
- Les premières apparitions militaires après le débarquement des troupes, imprimeront à la première place de la ville européenne de Casablanca, un caractère basé sur la démonstration des forces et symboles, tels que les bâtiments militaires et défilés, accompagnés des plaques commémoratives, stèles, monuments et statues. L’objectif de cette vaste opération de « communication » consiste à faire de Casablanca, une ville, avec tous les attributs d’une ville coloniale au lieu de la capitale économique d’un pays sous « protectorat » …
- Place Mohammed V ex place de la Victoire et place Lyautey.
- La place Mohammed V en 1907. Une stèle commémorative se trouvait à l’angle du cercle des officiers, à la mémoire du premier soldat tombé, lors d’un violent accrochage avec les résistants de la Chaouia. Elle sera « déplacée » par les autorités de l’époque …
- 1907 : Les forces étrangères ont été constituées en Algérie, en prévision du bombardement de la ville de Casablanca et de leur débarquement. Parmi ces forces, il y avait des légionnaires, des Zouaves, des Spahis et des Goumiers algériens. Ces forces ont été saluées avant leur départ, par le Général Lyautey, responsable de la zone militaire de Ain Sefra qui longeait la frontière marocaine … N.B C’est sous le commandement du Général Lyautey, que la ville d’Oujda à été occupée en 1907.
- En 1910 : Après les généraux Drude (1907) et d’Amade (1908) , c’est au tour du général Moinier de prendre possession de la place Mohammed V ex place Lyautey. Entre 1907 et 1956, cette place sera dotée de nombreux symboles, pour célébrer le débarquement des troupes …
- Le premier monument commémoratif de la place Mohammed V ex place Lyautey. La légende : Plaque commémorative du premier débarquement Français en terre Marocaine. Derrière la plaque à gauche, une partie du tribunal de Juridiction Française et à droite, la Subdivision militaire, l’actuel Consulat Général de France. Au départ, un soldat assurait la surveillance du monument et des deux canons.
- Au début du siècle dernier, de nombreuses personnes assistent à un défilé militaire, au sein de la place Mohammed V.
- L’un des premiers kiosques à musique de la place Mohammed V.
- De l’histoire … simplement : La ville de Dar El Baida – Casablanca, avant le protectorat, le premier port du Maroc, des fonctionnaires de haut niveau, c’est l’une des rares villes du Maroc où S.M. le Sultan est représenté par un Khalifat, en l’occurrence Moulay Lamrani, qui présida avec compétence, la commission d’indemnisation, après le bombardement d’août 1907. Cette commission comprenait les consuls de la France, Angleterre, Espagne, Italie etc. Le pacha de la ville de Casablanca – Dar El Baida, n’est autre que l’ancien ministre de la guerre Si Mohammed El Guebbas … Suivrons les grandes personnalités Casablancaises tels que les membres des familles Benkirane, Si Mohammed Soufi et Si Driss Filali. Le Corps Consulaire était composé d’éminentes personnalités, notoirement connues pour avoir, pour la plupart, fait carrière dans la diplomatie de leurs pays. On retrouve parmi les personnalités marocaines les plus en vue Si Abderrahman Bricha, issue d’une grande famille de diplomate, originaire de Tétouan, Berrada, Scali, Bennis, Baroudi, Ben Abdesslam et El Maaroufi. Une ville à la tête de laquelle se trouve des personnalités hautement compétentes, se retrouve du jour au lendemain, affublée du surnom de « bourgade » et soumise au contrôle du protectorat ! Le plus étonnant dans cette affaire, c’est d’avoir réussi à faire d’une parenthèse (40 années de protectorat) l’histoire d’un pays comme le Maroc …
- De l’histoire … simplement : Nous sommes en ville européenne, place Mohammed V ex place Lyautey. Carte postale, mise en vente au lendemain de l’achèvement des travaux du Tribunal de Jurisprudence Française. Il n’y avait qu’un seul mat, en général, les bâtiments de l’administration marocaine sont dotés de deux mats, pour supporter les drapeaux marocain et celui du protectorat français, ce qui n’est pas le cas pour le dit tribunal. La légende, de son coté ne correspond pas à la réalité du « terrain ». En français c’est simplement » le Palais de Justice » … En arabe, c’est une traduction qui laisse un tant soit peu à désirer, elle dépasse le stade de l’euphémisme … » Mahkama du Tribunal » sans commentaire et sans aucune autre forme de … procès ! –
- La confusion atteint son apogée grâce à ces deux écussons en arabe SVP, scellés au mur extérieur du Tribunal de Juridiction Française. En veux tu en voilà !
- Caserne des zouaves, place Rachidi.
- Lors du débarquement des troupes étrangères, après le bombardement de la ville entre les 5 et 7 août 1907, les éléments de la Légion étrangère se sont particulièrement distingués par la violence de leurs interventions. Des témoignages ont été repris (après l’indépendance) par des historiens marocains.
- La ville de Casablanca.
- Les membres de la commission spéciale.
- Le chapitre premier du titre II.
- Sauf dans les … Médinas !
- Les Services Municipaux de la Ville de Casablanca …
- Pour les responsables de l’époque, il s’agissait de décisions … révolutionnaires, c’est tout simplement la duplication des mesures qui ont été appliquées dans les nombreux territoires, tant en Afrique du Nord, Afrique Equatoriale Française, Afrique Occidentale Française, en Asie (Indochine-Laos-Cambodge) et dans les territoires d’Outre-Mer…
- La ville Européenne telle qu’elle existait sous le protectorat, vue et corrigée par les autorités de l’époque. Les appellations du type « centre ville » « ville nouvelle » etc. constituent une falsification d’un grand pan de l’histoire, la mémoire et le patrimoine de la ville Européenne. Toutes les communautés étrangères ont participer à l’édification de cette ville à son animation et sa renommée.
- Affiche.
- A Rabat.
- Les Tirailleurs marocains ouvrent le défilé organisé à l’occasion de la libération de la France.
- Des légendes peuvent parfois induire en erreur. Cette carte postale est légendée par erreur « Tirailleurs Sénégalais »
- Des Spahis marocains.
- Le trajet des opérations entre 1917 et 1920, qui connaitra une vive participation marocaine !
- Seul un homme de la « trempe » de Monsieur G. Saint René Taillandier est capable de se donner la peine d’étudier les origines d’un pays qui n’est pas le sien. On s’en moque !
- Notre Maroc : Après la période du Résident Lyautey, c’est au tour du régime du Maréchal Pétain, de sortir une revue dont le titre, très évocateur, donnerez envie de …
- Et enfin, pour la fine bouche, cette énormité innommable ! Cet à peine si nous devrions demander l’autorisation de vivre à … coté !
- Après son retour d’exil et la libération du Maroc, S.M. Mohammed V, reçoit Touria Chaoui accompagnée de son père.
- Touria Chaoui.
- Jamaa Lafkih Ababou.
- Jamaa Lafkih Ababou.
- Le Résident Général Noguès en compagnie du Général américain Patton.
- L’hôtel Excelsior.